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Montfort AJPM

 

Ad Jesum per Mariam

 

 

"Le CHAPELET QUOTIDIEN

RÉCITÉ AVEC VOUS !" 
(avec Images

des 15 Mystères,

vidéos & audios

à télécharger)

Explication du Rosaire en cantique & Méthode montfortaine en Images
2,6 Mo
Explication_du_Rosaire_en_cantique_Methode_montfortaine_en_Images.pdf

I- Les NOËLS POPULAIRES

- PLAYLIST "NOËLS" comprenant les 80 vidéos

 

- NEUVAINE de NOËL (Saint Alphonse de Liguori) + Album "NOËLS" (les 10 cantiques du Père de Montfort)

 

- PAROLES en PDF des NOËLS POPULAIRES

 

- TOUS les AUTRES CANTIQUES pour NOËL

 

(à noter que toutes les contributions Gloria.TV peuvent être téléchargées, moyennant un compte, en cliquant sur le "Plus" au-dessous de chaque audio, vidéo ou PDF, puis sur "Télécharger" ; quant aux vidéos YouTube, voir ICI)

Venez, Divin Messie ! 

1- Vidéo YouTube

2- Article du Blog  + Toutes les Versions chantées

3- Audio Gloria.TV

4- Vidéo Gloria.TV

5- PDF des paroles (Gloria.TV)

Venez, Verbe adorable ! 

1- Vidéo YouTube

2- Article du Blog

3- Audio Gloria.TV

4- Vidéo Gloria.TV

5- PDF des paroles (Gloria.TV)

'Venez, Verbe adorable !' sur 'Venez, divin Messie !' (paroles en PDF)
73 ko
_Venez_Verbe_adorable_sur_Venez_divin_Messie_.pdf
Venez, divin Messie ! (paroles en PDF)
87 ko
Venez-divin-Messie-.pdf

Douce nuit 

"Belle Nuit" (Noël allemand "Stille nacht")

À l'Enfant-Jésus sur "Douce nuit"

Douce nuit (paroles en PDF des 3 Noëls)
94 ko
Douce-nuit.pdf

Il est né le divin Enfant (instrumental & chanté )

R./ Il est né, le divin Enfant :
Jour de fête aujourd’hui sur terre !
Il est né, le divin Enfant,
Chantons tous son avènement !


1- Le Sauveur que le monde attend
Pour tout homme est la vraie lumière ;
Le Sauveur que le monde attend
Est clarté pour tous les vivants.

2- De la crèche au crucifiement,
Dieu nous livre un profond mystère ;
De la crèche au crucifiement,
Il nous aime inlassablement.

3- Qu’il revienne à la fin des temps
Nous conduire à la joie du Père ;
Qu’il revienne à la fin des temps,
Et qu’il règne éternellement !

Les chœurs angéliques 

Entre le bœuf et l'âne gris

Il est né le Divin Enfant (paroles en PDF)
73 ko
Il-est-ne-le-Divin-Enfant.pdf
Les Chœurs Angéliques 
& Entre le bœuf et l'âne gris
(paroles en PDF)
92 ko
Les-Choeurs-Angeliques-Entre-le-boeuf-et-l-ane-gris.pdf

Peuple fidèle (Adeste fideles)

"Ô peuple fidèle" (Adeste fideles)

Peuple fidèle ou Adeste fideles (paroles en PDF)
120 ko
Peuple-fidele-Adeste-fideles-.pdf

2 Noëls musicaux (Il est né le Divin Enfant & Les Anges dans nos campagnes)

Les Anges dans nos campagnes (instrumental pour 28 couplets)

Les Anges dans nos campagnes (paroles en PDF)
89 ko
Les-Anges-dans-nos-campagnes.pdf

La marche des Rois (en 2 versions)

La marche des Rois (paroles en PDF)
76 ko
La-marche-des-Rois.pdf

Chez nous, soyez Reine !

1-Nous avons votre image
Chez nous, sur nos autels ;
Et votre doux visage
Est un reflet du Ciel.


R./Chez nous, soyez Reine !
Nous sommes à vous !
Régnez en Souveraine
Chez nous, chez nous.
Soyez la Madone
Qu’on prie à genoux,
Qui sourit et pardonne
Chez nous, chez nous.

 

2-L’archange qui s’incline
Vous loue au nom du Ciel.
Donnez la paix divine
A notre cœur mortel.


3-Salut, brillante Étoile
Qui nous montrez les Cieux ;
Par vous Dieu se dévoile,
Jetez sur nous les yeux.

 

4-Votre front qui s’incline
Vers Dieu petit Enfant
De la grâce divine
Est tout resplendissant.


5-Et Jésus qui sommeille
S’abandonne en vos bras.
Il dort, mais son Cœur veille
Et nous parle tout bas.


6-Vous êtes notre Mère ;
Daignez à votre Fils,
Offrir l’humble prière
De vos enfants chéris.

 

7-Salut, ô Notre-Dame !
Nous voici devant vous,
Pour confier nos âmes
A votre Cœur si doux.


8-Bénissez nos prières,
Nos joies et nos douleurs.
Nous vous offrons, ô Mère,
Chacun de nos labeurs.


9-Exaucez-nous, Marie,
Accordez-nous la paix ;
Et sur notre patrie
Répandez vos bienfaits.

 

10-Gardez, ô Vierge pure,
O Cœur doux entre tous
Nos âmes sans souillure,
Nos cœurs vaillants et doux.


11-Dites à ceux qui peinent
Et souffrent sans savoir,
Combien lourde est la haine
Et combien doux l’espoir !


12-Soyez pour nous la Reine
De douce charité ;
Et bannissez la haine
De toute la cité.

 

13-Le soir quand les fatigues
Alourdissent nos corps
Gardez nos cœurs prodigues
D’amour pur et d’efforts.


14-Lorsque la nuit paisible
Nous invite au sommeil
Près de nous, invisible,
Restez jusqu’au réveil.


15-De vos mains maternelles,
Guidez-nous en chemin
Vers la vie éternelle
Et le bonheur sans fin.


16-A notre heure dernière
Accueillez dans les Cieux,
A la maison du Père
Notre retour joyeux.

"Je m'engage"

Amour de Dieu 

"JE M'ENGAGE"
(cantique traditionnel sur les vœux du baptême)

 

1-J'engageai ma promesse au baptême,
Mais pour moi d'autres firent serment.
Dans ce jour, je vais parler moi-même :
Je m'engage aujourd'hui librement.

R./Je m'engage,
Je m'engage aujourd'hui librement ;
Je m'engage, je m'engage,
Je m'engage aujourd'hui librement.


2-Je crois donc en un Dieu trois personnes,
De mon sang je signerais ma foi ;
Faible esprit, vainement tu raisonnes :
Je m'engage à le croire, et je crois.


3-A la foi de ce premier mystère,
Je joindrai la foi d'un Dieu Sauveur ;
Sous les lois de l'Église, ma Mère,
Je m'engage et d'esprit et de cœur.

4-Sur ces Fonts, dans une eau salutaire,
Pour enfant Dieu daigna m'adopter ;
Si j'en ai souillé le caractère,
Je m'engage à le mieux respecter.

5-Je renonce aux pompes de ce monde,
A la chair, à tous ses vains attraits ;
Loin de moi, Satan, esprit immonde,
Je m'engage à te fuir pour jamais.

6-Faux plaisirs, source infâme de vices,
Trop longtemps vous fûtes mon amour ;
Je renonce à vos fausses délices,
Je m'engage à Dieu seul sans retour.

7-Oui, mon Dieu, votre seul Évangile
Réglera mon esprit et mes mœurs ;
Dussiez-vous en frémir, chair fragile,
Je m'engage à toutes ses rigueurs.

8-Ah ! Seigneur, qui sait bien vous connaître,
Sent bientôt que votre joug est doux ;
C'en est fait, je n'ai point d'autre maître,
Je m'engage à ne servir que vous.

9-Sur vos pas, ô mon divin Modèle,
Plus heureux qu'à la suite des rois,
Plein d'horreur pour ce monde infidèle
Je m'engage à porter votre Croix.

10-Si le Ciel, d'un moment de souffrance,
Doit, Seigneur, être le prix un jour,
Animé par cette récompense,
Je m'engage à tout pour votre amour.

1-Heureux, Jésus, qui sut t'aimer
D'un amour constant et solide ;
Et quel autre bien peut charmer
Une âme de vrais biens avide ?
Quand viendra ce temps souhaité,
Le terme de ce long voyage,
Où l'amour dans l'éternité
N'aura plus à craindre de l'âge.


2-Ici-bas de l'amour divin
Même quand on goûte les charmes,
Les faiblesses du cœur humain
Offrent sans cesse des alarmes.
De ce monde tel est le cours
Qu'on craint sans cesse le naufrage,
Qui ferait périr pour toujours
L'innocence du premier âge.


3-Monde, par la foi combattu,
Tu voudrais en vain me séduire ;
Les saints attraits de la vertu
À nos yeux viennent de reluire.
Tu n'enseignes que vanité,
Tu ne donnes que l'esclavage :
Nous détestons la volupté
D'un monde funeste à notre âge.


4-Seigneur, si jamais les penchants
De notre inconstante nature
Allaient vous ravir notre encens
Et l'offrir à la créature ;
Hélas ! si nous devions périr,
Du vice éprouvant le ravage,
Retranchez pour nous l'avenir,
En coupant le fil de notre âge.


5-Vierge, patronne des enfants,
Notre amour et notre espérance,
Au milieu des maux renaissants
Nous implorons votre puissance.
Préservez-nous de tout péril,
Loin de nous écartez l'orage ;
De vos enfants dans cet exil
Montrez-vous la mère à tout âge.

"Que cette voûte retentisse" 

CANTIQUE TRADITIONNEL

SUR LE SAINT-SACREMENT


1-Que cette voûte retentisse
Des voix et des chants des mortels ;
Que tout ici s’anéantisse :
Jésus paraît sur nos autels !
Que tout ici s’anéantisse :
Jésus paraît sur nos autels !

R./Divin Jésus, objet si plein de charmes,
Ah ! demeurez, ne vous éloignez pas ;
Vivre sans vous dans ce séjour de larmes,
Serait pour moi plus dur que le trépas.
Vivre sans vous dans ce séjour de larmes,
Serait pour moi plus dur que le trépas.


2-Quoique caché dans ce mystère
Sous les apparences du pain,
C’est notre Dieu, c’est notre Père,
C’est le Sauveur du genre humain.
C’est notre Dieu, c’est notre Père,
C’est le Sauveur du genre humain. 


3-O divin Époux de nos âmes !
Dans cet auguste Sacrement,
Embrasez-nous tous de vos flammes
En vous faisant notre aliment.
Embrasez-nous tous de vos flammes
En vous faisant notre aliment.

4-Exaucez notre humble prière,
O Dieu d’amour et de bonté ;
Bénissez-nous, ô tendre Père,
Dans le temps et l’éternité.
Bénissez-nous, ô tendre Père,
Dans le temps et l’éternité.

Je n'ai qu'une âme sur "Pitié mon Dieu" 

"Hélas ! quelle douleur" 

CANTIQUE TRADITIONNEL SUR LA CONTRITION

1- Hélas ! quelle douleur
Remplit mon cœur,
Fait couler mes larmes.
Hélas ! Quelle douleur
Remplit mon cœur
De crainte et d'horreur.
Autrefois,
Seigneur, sans alarmes,
De tes lois
Je goûtais les charmes ;
Hélas ! vœux superflus,
Beaux jours perdus,
Vous ne serez plus.

2- La mort déjà me suit.
O triste nuit !
Déjà je succombe.
La mort déjà me suit,
Le monde fuit,
Tout s'évanouit.
Je la vois
Entr'ouvrant ma tombe,
Et sa voix
M'appelle et j'y tombe ;
O mort ! cruelle mort !
Si jeune encor !...
Quel funeste sort !

3- Grand Dieu ! quel jour affreux
Luit à mes yeux !
Quel horrible abîme !
Grand Dieu, quel jour affreux
Luit à mes yeux !
Quels lugubres feux !
Oui, l'enfer,
Vengeur de mon crime,
Est ouvert,
Attend sa victime ;
Grand Dieu ! quel avenir !
Pleurer, gémir,
Toujours te haïr !

4- Beau ciel ! je t'ai perdu,
Je t'ai vendu :
Par de vains caprices.
Beau ciel ! je t'ai perdu,
Je t'ai vendu :
Regret superflu !
Loin de toi,
Toutes les délices
Sont pour moi
De nouveaux supplices.
Beau ciel, toi que j'aimais,
Qui me charmais,
Ne te voir jamais !

5- Non, non, c'est une erreur :
Dans mon malheur,
Hélas ! je m'oublie.
Non, non, c'est une erreur :
Dans mon malheur
Je trouve un Sauveur.
Il m'attend,
Me réconcilie ;
Dans son Sang
Je reprends la vie.
Non, non, je l'aime encor,
Et le remords
A changé mon sort.

1- Que les mortels ont peu d'intelligence
Quand à la terre ils ne font que penser !
En auront-ils toujours la jouissance ?
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

R- Je n'ai qu'une âme
Qu'il faut sauver ;
De l'éternelle flamme,
Je veux la préserver.
(bis)

2- En vain Satan, le monde et la nature,
Par leurs attraits veulent me captiver :
J'aime mon Dieu plus que la créature,
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

3- Je crains, hélas ! la perte de cette âme,
Pour la sauver je saurai tout braver,
Pourvu que Dieu m'embrase de sa flamme ;
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

4- Comment peut-on pour un moment d'ivresse,
Par le démon se laisser enlacer ?
Que de regrets suivront cette faiblesse !
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

5- Quand tout le monde, enivré par le vice,
Pour les enfers se ferait enrôler,
Pour moi, du feu je crains trop le supplice :
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

6- Reine du Ciel, ô ma Mère chérie,
De tout péché daignez me préserver.
Priez pour moi, bonne et tendre Marie,
Je n'ai qu'une âme et je veux la sauver !

"Ô Marie, ô Mère chérie" (version instrumentale)

R./ Ô Marie, ô Mère chérie,
Garde au cœur des Français
La foi des anciens jours.
Entends du haut du ciel
Ce cri de la patrie :
Catholique et Français toujours !
Entends du haut du ciel
Ce cri de la patrie :
Catholique et Français toujours,
Catholique et Français toujours ! 


1- Aux pieds de ta Mère bénie,
Tombe à genoux peuple chrétien !
Et que ta bannière chérie
S’incline en ce lieu trois fois saint.

2- Console-toi, Vierge Marie,
La France revient à son Dieu ;
Viens, souris à notre patrie,
D'être chrétienne elle a fait vœu.

3- Divine Vierge, ô notre égide,
Ton peuple ne veut pas mourir ;
Écrase un ennemi perfide,
Empêche la foi de périr.

4- Oh ! Sur nous, règne, bonne Mère,
Tes enfants sont à tes genoux !
Sois leur refuge tutélaire !
Sauve la France, sauve-nous !

5- Nous assiégeons ton sanctuaire,
Nous accourons à tes parvis ;
Pardon, grâce, ô puissante Mère !
Fléchis le Cœur de Dieu ton Fils !

6- Rends la couronne à notre Père,
Confonds les méchants et leurs vœux,
Fais que le Successeur de Pierre
Connaisse enfin des jours heureux.

7- La France veut rester fidèle
À l'Église, au Pontife-Roi :
Elle est à toi, veille sur elle ;
Garde-lui son Christ et sa foi.

 "Il en est temps, pécheur !" 

"Mon doux Jésus ! enfin voici le temps" 

1- Mon doux Jésus ! enfin voici le temps
De pardonner à nos cœurs pénitents ;
Nous n'offenserons jamais plus
Votre bonté suprême,
(bis)
Ô doux Jésus !

2- Puisqu'un pécheur vous a coûté si cher,
Faites-lui grâce, il ne veut plus pécher ;
Ah ! ne perdez pas cette fois
La conquête admirable
(bis)
De votre Croix.

3- Enfin, mon Dieu, nous sommes à genoux,
Pour vous prier de pardonner à tous :
Pardonnez-nous, ô Dieu clément !
Lavez-nous de nos crimes
(bis)
Dans votre Sang.

CANTIQUE TRADITIONNEL

SUR LE DÉLAI DE LA CONVERSION

 

R./ Il en est temps, pécheur !
Revenez au Seigneur ! (bis)


1- Serez-vous donc toujours rebelle
A la voix du Dieu souverain ?
Depuis longtemps il vous appelle,
Ah ! que ce ne soit plus en vain.


2- Pour un plaisir si peu durable,
Qu’on goûte dans l’iniquité,
Faut-il que le Dieu tout aimable
De votre cœur soit rejeté ?


3- C’est votre Dieu, votre seul maître ;
Pour vous, ah ! quel est son amour !
N’avez-vous de lui reçu l’être
Que pour l’outrager chaque jour ?


4- Connaissez votre ingratitude ;
Pleurez votre dérèglement ;
Du péché, rompez l’habitude ;
Faites voir un vrai changement.


5- En suivant sans cesse du crime
Les vrais, mais dangereux appas,
Vous tombez d’abîme en abîme ;
Cependant vous n’y pensez pas.

6- Dans cette triste léthargie,
Savez-vous quel est votre sort ?
Hélas ! vous semblez plein de vie,
Et devant Dieu vous êtes mort.

7- Vous méritez de sa colère
Les puissants, les terribles coups.
Ah ! bientôt, en juge sévère,
Il va lever son bras sur vous.

8- Si d’une mort prompte, imprévue,
Vous recevez le coup fatal,
C’en est fait, votre âme est perdue ;
Et vous aimez encor le mal !

9- Quoi donc, toujours être insensible
Au péril de l’éternité !
Non, il n’est rien de plus horrible
Que votre insensibilité.

10- Pour sortir de votre esclavage,
Faites enfin tous vos efforts :
En tardant toujours davantage,
Vos fers en deviendront plus forts.

11- O pauvre brebis égarée,
Pourquoi toujours vous obstiner ?
C’est ici l’heure désirée
Où Dieu cherche à vous ramener.

Le salut (cantique traditionnel)

"Nous n'avons à faire" (cantique traditionnel sur le salut)

1- Nous n'avons à faire
Que notre salut ; (bis)
C'est là notre but,
C'est là notre unique affaire.
Nous serons heureux
En cherchant les Cieux. (bis)

2- Notre âme immortelle
Est faite pour Dieu ; (bis)
La terre est trop peu,
Ou plutôt n'est rien pour elle.
Nous serons heureux
En cherchant les Cieux. (bis)

3- Perte universelle :
Perdre son Sauveur, (bis)
Perdre son bonheur,
Perdre la vie éternelle !
Afin d'être heureux,
Nous cherchons les Cieux. (bis)

4- Prends pour toi la terre,
Avare indigent ; (bis)
Pour l'or et l'argent,
Entreprends procès et guerre.
Pour nous, plus heureux,
Nous cherchons les Cieux. (bis)

5- Recherche âme immonde,
Selon tes désirs, (bis)
Les plus vils plaisirs ;
Ils fuiront avec le monde.
Pour nous, plus heureux,
Nous cherchons les Cieux. (bis)

6- Poursuis la fumée
D'un futile honneur. (bis)
Mondain, au bonheur,
De quoi sert la renommée ?
Pour nous, plus heureux,
Nous cherchons les Cieux. (bis)

7- Au prix de la grâce,
Le reste n'est rien ; (bis)
Ce n'est pas un bien,
Dès lors qu'il trompe et qu'il passe.
Afin d'être heureux,
Nous cherchons les Cieux. (bis)

1- Travaillez à votre salut ;
Quand on le veut, il est facile.
Chrétiens n'ayez pas d'autre but,
Sans lui tout devient inutile. (bis)

R./ Sans le salut (bis), pensez-y bien,
Tout ne vous servira de rien.
(bis)

2- Oh ! que l'on perd en le perdant !
On perd le céleste héritage ;
Au lieu d'un bonheur si charmant,
On a l'enfer pour son partage. (bis)

3- Que sert de gagner l'univers,
Dit Jésus, si l'on perd son âme,
Et s'il faut, au fond des enfers,
Brûler dans l'éternelle flamme ? (bis)

4- Rien n'est digne d'empressement
Si ce n'est la vie éternelle ;
Tout le reste est amusement,
Tout n'est que pure bagatelle. (bis)

5- C'est pour toute une éternité
Qu'on est heureux ou misérable ;
Que, devant cette vérité,
Tout ce qui passe est méprisable ! (bis)

6- Grand Dieu, que tant que nous vivrons,
Cette vérité nous pénètre !
Ah ! faites que nous nous sauvions,
À quelque prix que ce puisse être ! (bis)

"Sainte Anne, ô bonne Mère"

"Le Ciel en est le prix !" (cantique traditionnel)

1- Le Ciel en est le prix !
Que ces mots sont sublimes !
Des plus belles maximes
Voilà tout le précis.

R./ Le Ciel, Le Ciel,
Le Ciel en est le prix !
(bis)

2- Le Ciel en est le prix !
Mon âme, prends courage,
Ah ! si dans l'esclavage
Ici-bas tu gémis.

3- Le Ciel en est le prix !
Amusement frivole,
De grand cœur je t'immole
Au pied du crucifix.

4- Le Ciel en est le prix !
La loi commande-t-elle,
Fût-ce une bagatelle,
N'importe, j'obéis.

5- Le Ciel en est le prix !
Un rien, Seigneur, vous charme.
Que faut-il ? une larme ;
Qui n'en serait surpris ?

6- Le Ciel en est le prix !
Rends pour moi ce service,
Fais-moi ce sacrifice...
Dieu parle, j'y souscris.

7- Le Ciel en est le prix !
Endurons cette injure ;
L'amour-propre en murmure,
Mais tout bas je lui dis :

8- Le Ciel en est le prix !
Dans l'éternel Empire,
Qu'il sera doux de dire :
Tous mes maux sont finis !

Sainte Anne, ô bonne Mère ! 
(paroles en PDF)
81 ko
Sainte_Anne_o_bonne_Mere_.pdf

Autre version pour Sainte Anne d'Auray :

Vidéo 

La France à Marie, Ste Jeanne d'Arc & St Michel (sur "Ô Marie, ô Mère chérie")

"À la mort, à la mort" (cantique traditionnel)

I- LA FRANCE, ROYAUME DE MARIE

R./ Ô Marie ! Ô Reine bénie !
Garde au cœur des Français la foi des anciens jours ;
Qu'il monte jusqu'au Ciel ce cri de la patrie :
Catholique et Français toujours !
Qu'il monte jusqu'au Ciel ce cri de la patrie :

Catholique et Français toujours ! (bis)

1- Vierge, la Gaule encor païenne
Jadis eut des autels pour toi ;
Ton Cœur, dans la France chrétienne,
Garda sans tache notre foi.

2- Jeanne a ton Nom sur sa bannière
Avec le Nom du Rédempteur,
Et l'étendard de la guerrière
Refoule un peuple envahisseur.

3- Des hérétiques pleins de haine
Voulaient détruire tes autels ;
Mais la France acclamant sa Reine
Repoussa leurs bras criminels.

4- Depuis trois siècles la patrie,
Par l'acte de son souverain,
Pour sa Patronne a pris Marie :
Notre avenir est dans ta main.

5- Souvent, ô Reine glorieuse,
Tu vins sur notre sol français,
Et ta Médaille merveilleuse,
Pour nous aussi tu la gardais.

6- Faveur encor plus signalée !
C'est à la France que ton Cœur,
Du nom royal d'Immaculée,
Révèle, à Lourdes, la splendeur.

7- Dieu fit la France fille aînée
De son Église, aux premiers jours ;
Et Dieu dès lors te l'a donnée :
Reine ! Protège-la toujours !

 

****************************

 

II- LA FRANCE À SAINTE JEANNE D'ARC

R./ Jeanne d'Arc, ton peuple te prie :
Fais qu'il reste fidèle à tous ses grands amours !
Soldat de Jésus-Christ, serviteur de Marie,
Catholique et français toujours !
Soldat de Jésus-Christ, serviteur de Marie,

Catholique et français toujours ! (bis)

1- Salut à toi, Vierge Lorraine,
Fille de Dieu, fille au grand cœur ;
Autrefois tu fus à la peine,
Jeanne, aujourd'hui sois à l'honneur !

2- Tu fis graver sur ta bannière
Le Nom béni du Dieu Sauveur
Et celui de la Vierge Mère ;
Mets ces deux Noms dans notre cœur.

3- Les Voix du Ciel dans ton enfance
Te disaient d'aimer ton pays ;
Maintenant parle de la France
À tes frères du Paradis.

4- Ta mission n'est pas finie,
La France encor crie au secours ;
Et Dieu qui par toi l'a bénie
Veut par toi la bénir toujours.

5- Nous comptons plus sur tes prières
Que sur nos efforts impuissants ;
Autrefois tu sauvas nos pères,
Aujourd'hui sauve leurs enfants !

6- Réveille en nos cœurs l'espérance,
La foi qui remplissait le tien,
Et fais que le peuple de France
Soit toujours un peuple chrétien.

 

****************************

 

III- LA FRANCE À SAINT MICHEL

R./ Saint Michel, à votre puissance
Nous venons demander l'appui des anciens jours.
Qu'il monte jusqu'au Ciel, ce vieux cri de la France :
Saint Michel, à notre secours !
Qu'il monte jusqu'au Ciel, ce vieux cri de la France :

Saint Michel, à notre secours ! (bis)

1- Vers vous, Archange de lumière,
Preux serviteur du Roi des rois,
Nous venons en ce sanctuaire
Du Seigneur affirmer les droits.

2- L'enfer déchaîné sur la terre
Redouble sa rage et ses coups ;
Défendez-nous dans cette guerre,
Contre lui combattez pour nous.

3- Partout la haine et l'imposture,
Le crime et le vice odieux,
Frémissant d'une rage impure
Lèvent leurs fronts contre les Cieux.

4- « Avec Dieu, disent les impies,
Il faut en finir à jamais ! »
Ils blasphèment, dans leurs folies,
Et sa puissance et ses bienfaits.

5- Vous êtes patron de l'Église ;
Contre la fureur des méchants
La garde vous en est commise :
Ah ! conservez-lui ses enfants !

6- Infidèle à son divin Maître,
Et marchant d'erreurs en erreurs,
Notre France a vu disparaître
Et son repos et ses grandeurs.

7- Vous êtes patron de la France,
Et bien des fois nos Souverains,
Vous appelant à sa défense,
Mirent leur épée en vos mains.

8- Souvenez-vous que notre France
De l'Église fut le soutien,
Et qu'elle est encor l'espérance
Du Pape et du monde chrétien.

9- Délivrez l'Église et la France
Qui réclament votre secours ;
Armez-vous pour leur délivrance :
Sauvez-les ! Gardez-les toujours !

R./ À la mort, à la mort,
Pécheur, tout finira ;
Le Seigneur, à la mort,
Te jugera.


1- Il faut mourir, il faut mourir,
De ce monde il nous faut sortir ;
Le triste arrêt en est porté,
Il faut qu'il soit exécuté.

2- Comme une fleur qui se flétrit,
Ainsi bientôt l'homme périt :
L'affreuse mort vient de ses jours
En un moment trancher le cours.

3- Pécheurs, approchez du cercueil,
Venez confondre votre orgueil ;
Là tout ce qu'on estime tant
Est enfin réduit au néant.

4- Plus de plaisirs, plus de douceurs,
Plus de pouvoirs, plus de grandeurs ;
Ces biens dont vous êtes jaloux
Vont tout à coup périr pour vous.

5- Adieu, famille ; adieu, parents ;
Adieu, chers amis, chers enfants !
Votre cœur se désolera,
Mais tout enfin vous quittera !

6- Ce moment doit bientôt venir,
Mais on en fuit le souvenir ;
Et l'homme sans réflexion
Vit ainsi dans l'illusion.

7- S'il fallait subir votre arrêt,
Chrétiens, qui de vous serait prêt ?
Combien dont le funeste sort
Serait une éternelle mort !

"Loué soit à tout instant" (Louanges à Jésus-Eucharistie)

"Marchons au combat, à la gloire"

R./ Marchons au combat, à la gloire ;
Marchons sur les pas de Jésus.
Nous remporterons la victoire

Et la couronne des élus. (bis)

1- Pourquoi languir dans l'esclavage ?
Pourquoi traîner des fers honteux ?
Régner au Ciel est le partage
Du chrétien brave et généreux.

2- De Jésus-Christ je suis le frère,
De l'Éternel je suis le fils :
Mon cœur est plus grand que la terre,
Il me faut des biens infinis.

3- Les anges préparent des trônes
Au sein des célestes splendeurs ;
Je les vois tresser les couronnes
Qui vont ceindre les fronts vainqueurs.

4- Au Ciel, dans la gloire immortelle,
Je vois des parents, des amis ;
J'entends leur voix qui nous appelle :
Bientôt nous serons réunis.

5- Faisons flotter à notre tête
L'étendard sacré de la Croix.
Volons, volons à la conquête
De l'empire du Roi des rois.

6- Guerre à Satan, esprit immonde,
Guerre à l'infâme volupté ;
Guerre au mensonge, guerre au monde,
À Jésus-Christ fidélité !

7- Ô Ciel, ô ma noble patrie,
Pour toi je dois vivre et mourir ;
Pour toi, le reste de ma vie,
Pour toi, jusqu'au dernier soupir !

R./ Loué soit à tout instant
Jésus au Saint-Sacrement.
(bis)

1- Ô divine Eucharistie,
Ô trésor mystérieux !
Sous les voiles de l'Hostie
Est caché le Roi des Cieux.

2- Jésus veut, par un miracle,
Près de nous, la nuit, le jour,
Habiter au Tabernacle,
Prisonnier de son amour.

3- Ce bon Maître nous console,
Son amour nous réjouit ;
D'un Dieu la douce parole
Nous ranime et nous guérit.

4- Tous les jours, dans le calice,
Le Fils du Dieu tout-puissant
À la messe, en sacrifice,
Pour le monde offre son Sang.

5- Jésus-Christ, du Pain des Anges,
Nourrit l'âme à son autel ;
Dans nos hymnes de louanges,
Célébrons le Pain du Ciel.

6- Adorons dans ce mystère
Dieu sous l'ombre de la foi ;
Quel bonheur dès cette terre
De s'unir au divin Roi !

"Prier, c'est un bonheur" (cantique traditionnel)

"Jésus monte au Calvaire" sur un choral de Bach

1- Jésus monte au Calvaire,
Portant sa lourde Croix ;
Des crimes de la terre
Il porte aussi le poids :
Souffrance volontaire,
Objet d’un libre choix !
Jésus monte au Calvaire,
Portant sa lourde Croix.

2- Jésus en Croix se dresse,
Sanglant sous le ciel noir.
Autour de lui se presse
La foule qui veut voir.
Pas un mot de tendresse !
Pas un rayon d’espoir !
Jésus en Croix se dresse,
Sanglant sous le ciel noir.

3- Jésus mourant s’incline
De son gibet vers nous :
Il a ses mains divines
Ses pieds, percés de clous,
Son front chargé d’épines,
Son corps meurtri de coups !
Jésus mourant s’incline
De son gibet vers nous !

4- Venez pécheurs rebelles :
Ses bras vous sont ouverts !
Ce Dieu qui vous appelle
Nous sauve des enfers !
Dans notre chair mortelle,
Quels maux il a souffert !
Venez pécheurs rebelles :
Ses bras vous sont ouverts !

1- Prier, c'est un bonheur,
C'est un devoir qu'on aime ;
Du Cœur de Dieu lui-même
C'est rapprocher son cœur.

R- Chrétiens, prions sans cesse,
C'est la loi du Sauveur ;

Jamais Dieu ne délaisse
Qui prie avec ferveur. (bis)

2- Prier, c'est un bonheur ;
C'est invoquer un Père
Qui, dans notre misère,
Nous offre sa faveur.

3- Prier, c'est un bonheur
Pour l'âme qui redoute
Les pièges qu'en sa route
Sème le tentateur.

4- Prier, c'est un bonheur
Pour qui, dans la tristesse,
Gémit de sa faiblesse,
Déplore sa langueur.

5- Prier, c'est un bonheur ;
C'est éviter la chute
À l'heure où de la lutte
On veut sortir vainqueur.

6- Prier, c'est un bonheur ;
En implorant la grâce,
Le pauvre se délasse
Et calme sa douleur.

7- Prier, c'est un bonheur,
Lorsque la pénitence
Vient rendre l'espérance
Au malheureux pécheur.

8- Prier, c'est un bonheur,
Quand l'âme, ouvrant son aile,
Des cieux où Dieu l'appelle
Voit luire la splendeur.

"J'irai la voir un jour" : instrumental

"Ô Saint-Esprit, venez en nous")

J’IRAI LA VOIR UN JOUR

(cantique traditionnel à la Sainte Vierge)

 

R./    Au Ciel, au Ciel, au Ciel,
    J’irai la voir un jour ;
    Au Ciel, au Ciel, au Ciel,
    J’irai la voir un jour.

1-    J’irai la voir un jour ;
    Au Ciel dans la Patrie
    Oui, j’irai voir Marie
    Ma joie et mon amour.

2-    J’irai la voir un jour ;
    C’est le cri d’espérance
    Qui guérit ma souffrance
    Au terrestre séjour.

3-    J’irai la voir un jour ;
    J’irai m’unir aux Anges
    Pour chanter ses louanges
    Et pour former sa cour.

4-    J’irai la voir un jour ;
    J’irai près de son trône
    Recevoir ma couronne
    Et régner à mon tour.

5-    J’irai la voir un jour ;
    Cette Vierge immortelle,
    Bientôt j’irai près d’elle
    Lui dire mon amour.

6-    J’irai la voir un jour ;
    J’irai, loin de la terre,
    Sur le Cœur de ma Mère
    Reposer sans retour.

R./ Ô Saint-Esprit, venez en nous, (bis)
Embrasez notre cœur
De vos feux, de vos feux les plus doux ;

Embrasez notre cœur
De vos feux, de vos feux les plus doux.


1- Sans vous, mon Dieu, notre prudence
Ne peut hélas ! que s'égarer.
Ah ! dissipez notre ignorance, (bis)
Esprit d'intelligence,
Venez nous éclairer.

2- Le noir enfer, pour nous livrer la guerre,
Se réunit au monde séducteur ;
Tout est pour nous embûche sur la terre,
Soyez, soyez notre libérateur. (bis)

3- Enseignez-nous la divine Sagesse,
Seule elle peut nous conduire au bonheur ;
Dans ses sentiers, qu'heureuse est la jeunesse !
Qu'heureuse est la vieillesse !

"J'ai péché dès mon enfance" (cantique traditionnel)

"Un Dieu vient se faire entendre" (La Mission)

1- Un Dieu vient se faire entendre,
Cher peuple, quelle faveur !
À sa voix il faut vous rendre :
Il demande votre cœur.

R./ Accourez, peuple fidèle,
Venez à la Mission ;
Le Seigneur qui vous appelle
Veut votre conversion.


2- Dans l'état le plus horrible
Le péché vous a réduits ;
Mais, à vos malheurs, sensible,
Dieu vers vous nous a conduits.

3- Sur vous il fera reluire
Une céleste clarté ;
Dans vos cœurs il va produire
Le feu de la charité.

4- Trop longtemps, hélas ! le crime
A pour vous eu des attraits :
Qu'un saint désir vous anime
À le bannir pour jamais !

5- Loin de vous toute injustice,
Loin toute division ;
Que partout se rétablisse
La concorde et l'union.

6- Du blasphème, du parjure,
Montrez une sainte horreur.
Plus en vous de flamme impure,
N'aimez plus que la pudeur.

7- Évitez l'intempérance
Et tout plaisir criminel :
Que chacun enfin ne pense
Qu'à son salut éternel.

8- Sans tarder, changez de vie :
Sur vos maux pleurez, pécheurs.
C'est Dieu qui vous y convie,
N'endurcissez point vos cœurs.

9- Quel bonheur inestimable,
Si, plein d'un vrai repentir,
De son état misérable
Tout pécheur voulait sortir !

10- Ah ! Seigneur ! qu'enfin se fasse
Ce désiré changement !
Dans les cœurs, par votre grâce,
Venez agir fortement.

11- Brisez, ô Dieu de clémence,
Leur coupable dureté ;
Qu'une sainte pénitence
Lave leur iniquité.

1- J'ai péché dès mon enfance,
J'ai chassé Dieu de mon cœur,
J'ai perdu mon innocence,
Quelle perte ! Ah ! quel malheur !

R./ Quel malheur, quel malheur,
J'ai chassé Dieu de mon cœur !
(bis)

2- Oh ! qui mettra dans ma tête
Une fontaine de pleurs
Sur la perte que j'ai faite,
Sur le plus grand des malheurs ?

3- Riche trésor de la grâce,
Te perdant j'ai tout perdu :
Que faut-il donc que je fasse
Pour que tu me sois rendu ?

4- Innocence inestimable,
Que je te connaissais peu,
Quand d'un bien si désirable
La perte m'était un jeu !

5- Oh ! que mon âme était belle
Quand elle avait sa candeur !
Depuis qu'elle est criminelle,
Ô Dieu, quelle est sa laideur !

6- Ô Dieu ! quel bonheur extrême
Si j'étais mort au berceau,
Ou si des fonts du baptême
On m'eût conduit au tombeau !

7- Malheur à vous, amis traîtres,
Mes plus cruels ennemis,
Qui fûtes mes premiers maîtres
Dans le mal que j'ai commis !

8- Par votre libertinage,
Vos discours, vos actions,
Du péché, dès mon jeune âge,
Vous me fîtes des leçons.

9- Ô mon Dieu ! dès mon baptême
À vous je me consacrai ;
Et dès mon enfance même
Au démon je me livrai.

10- Ô promesses prononcées
À la face des autels,
Et si souvent violées
Par mille péchés mortels !

11- Pardonnez à ce rebelle
Qui déplore son malheur,
Qui veut vous être fidèle
Et vous redonner son cœur.

"Quand Jésus mourait au Calvaire"

Stabat Mater (mis en cantique par l'abbé Bouvier)

1- Debout, la Mère des douleurs,
Au pied de la Croix, tout en pleurs,
Regardait Jésus mourir.

2- Et sa tristesse et son malheur
Plongent un glaive dans son Cœur ;
Sa grande âme va souffrir.

3- Combien triste et combien cruel
Fut, pour son Cœur si maternel,
Le Calvaire de Jésus !

4- Quel tourment, quel supplice affreux
De voir les coups si douloureux
Que son Fils avait reçus !

5- Quel homme, sans verser des pleurs,
Verrait la Mère des douleurs
Dans un si cruel tourment ?

6- Quel cœur ne pourrait s'attendrir
De la voir si bien compatir
Aux douleurs de son Enfant ?

7- Pour les pécheurs il s'est livré :
Son corps mourant tout déchiré
Devant elle souffre encore.

8- Elle voit son Enfant chéri,
Dans la détresse d'un grand cri,
S'abandonner à la mort.

9- Fais-nous sentir à notre tour
Mère au grand Cœur, source d'amour,
La vertu de ta douleur.

10- Et fais surtout que notre cœur
Enfin se donne avec ardeur
À l'amour du Rédempteur.

11- Ô sainte Mère, dans nos cœurs,
Fixe l'empreinte des douleurs
Dont souffrait le Christ en Croix.

12- Il nous aima jusqu'à mourir.
Fais-nous la grâce de souffrir
Comme il souffrit autrefois.

13- Fais-nous pleurer près de ton Cœur
Et compatir à sa douleur,
Mère, jusqu'à notre mort.

14- Pécheurs debout près de la Croix,
À tes pleurs nous mêlons nos voix,
Dans l'amour et le remords.

15- Laisse-nous, Vierge de bonté,
Vierge de grâce et de clarté,
Nous repentir près de toi.

16- Fais-nous porter le souvenir
De tout ce qu'il voulut souffrir
Et de sa mort sur la Croix.

17- Que notre cœur compatissant
S'échauffe encore par le Sang
Que nous donna son amour !

18- Toi qui pour nous as tant souffert,
Viens me défendre de l'enfer,
Sainte Vierge, au dernier jour.

19- Ô Christ, lorsqu'il faudra mourir,
Par elle daigne m'accueillir
Dans la gloire de ton Ciel.

20- Ô Mère, quand mon corps mourra,
Par toi, mon âme s'en ira
Dans le bonheur éternel. Amen.

1- Quand Jésus mourait au Calvaire,
Rejeté par toute la terre,
Debout, la Vierge, sa Mère
Souffrait auprès de lui.

2- Qui pourrait savoir la mesure
Des douleurs que votre âme endure,
Ô Mère, alors qu’on torture
L’Enfant qui vous est pris ?

3- Se peut-il que tant de souffrances
Ne nous laisse qu’indifférence,
Tandis que par nos offenses
Nous lui donnons la mort ?

4- Mais nos pauvres larmes humaines
Sont bien peu devant votre peine.
Que votre Fils nous obtienne
D’y joindre un vrai remords !

5- Pour qu’enfin l’amour nous engage
Et nous livre à lui davantage,
Gravez en nous ce visage
Que vous avez chéri.

6- Quand viendra notre heure dernière,
Nous aurons besoin d’une Mère
Pour nous mener, de la terre,
En votre Paradis.

"Quelle nouvelle et sainte ardeur"

Nous voulons Dieu ! (cantique traditionnel)

1- Nous voulons Dieu ! Vierge Marie,
Prête l'oreille à nos accents ;
Nous t'implorons, Mère chérie,
Viens au secours de tes enfants.

R./ Bénis, ô tendre Mère,
Ce cri de notre foi :

Nous voulons Dieu ! c'est notre Père,
Nous voulons Dieu ! c'est notre Roi. (bis)

2- Nous voulons Dieu dans la famille,
Dans l'âme de nos chers enfants ;
Pour que la foi s'accroisse et brille
À nos foyers reconnaissants.

3- Nous voulons Dieu dans nos écoles,
Afin qu'on enseigne à nos fils
Sa loi, ses divines paroles,
Sous le regard du Crucifix.

4- Nous voulons Dieu ! Sa sainte image
Doit présider aux jugements ;
Nous le voulons au mariage,
Comme au chevet de nos mourants.

5- Nous voulons Dieu dans notre armée,
Afin que nos jeunes soldats,
En défendant la France aimée,
Soient des héros dans les combats.

6- Nous voulons Dieu, pour que l'Église
Puisse enseigner la vérité,
Combattre l'erreur qui divise,
Prêcher à tous la charité.

7- Nous voulons Dieu ! De sa loi sainte,
Jurons d'être les défenseurs,
De le servir libres, sans crainte ;
Jusqu'à la mort à lui nos cœurs !

8- Chrétiens, notre antique alliance,
Renouons-la dans ce saint lieu ;
Et crions au nom de la France :
Oui, Dieu le veut ! Nous voulons Dieu !

1- Quelle nouvelle et sainte ardeur
En ce jour transporte mon âme !
Je sens que l'Esprit créateur
De son feu tout divin m'enflamme.

R./ Vive Jésus ! Je crois, je suis chrétien !
Censeurs, je vous méprise !
Lancez, lancez vos traits : je ne crains rien !
Mon bras vainqueur les brise.


2- Il faut, dans un noble combat,
Pour vous, Seigneur, que je m'engage ;
Vous m'avez fait votre soldat,
Vous m'en donnerez le courage.

3- Du salut, le signe sacré
Arme mon front pour ma défense ;
Devant lui l'enfer conjuré
Perdra sa funeste puissance.

4- Le mépris d'un monde insensé
Pourrait-il m'alarmer encore ?
Loin de m'en trouver offensé,
Je sens aujourd'hui qu'il m'honore.

5- Dans sa fureur, l'impiété
Veut me ravir le Dieu que j'aime ;
Je veux, fort de la vérité,
Lui dire toujours anathème.

6- On a vu de faibles agneaux
Triompher de l'aveugle rage
Et des tyrans et des bourreaux ;
Faible comme eux, Dieu m'encourage.

7- Enfant des généreux martyrs,
Puissé-je égaler leur constance,
Et trouver mes plus doux plaisirs
Au sein même de la souffrance !

8- À la mort fallût-il s'offrir,
Ou perdre, hélas ! mon innocence :
Grand Dieu ! je consens à mourir,
Ne souffrez pas que je balance.

9- Chrétiens ! ranimons notre ardeur,
Contemplons la palme immortelle ;
Le Ciel la promet au vainqueur :
Combattons et mourons pour elle.

3 invocations à l'Esprit-Saint

"Jésus est la bonté même" (sur l'ingratitude des hommes)

I- "VENEZ, ESPRIT-SAINT, PUR AMOUR"

1- Venez, Esprit-Saint, pur amour,
Descendez sur nous en ce jour,
Allumez par vos traits vainqueurs,
Le feu divin dans tous les cœurs.

R./ Vive le Seigneur,
Le Seigneur, le Seigneur,
Vive le Seigneur
Dans tous les cœurs.
(bis)

2- Grand Dieu, souverain Créateur,
Envoyez le Consolateur :
Vous verrez, malgré les enfers,
Se renouveler l'univers.


*******************************

 

II- "ESPRIT-SAINT, PURE FLAMME"

1- Esprit-Saint, pure flamme,
Je t'implore en ce jour :
Viens pénétrer mon âme,
De ton divin amour.

R./ Élève-toi, mon âme,
Élève-toi, mon âme à Dieu ;
Sans cesse élève-toi, mon âme,
Sans cesse élève-toi, mon âme, à Dieu.


2- De votre loi si sainte
Gravez en nous les traits :
Que dans nos cœurs empreinte
Elle règne à jamais !

 

*******************************

 

III- "Ô SAINT-ESPRIT, DONNEZ-NOUS VOS LUMIÈRES"

1- Ô Saint-Esprit, donnez-nous vos lumières,
Venez remplir et posséder nos cœurs.
Embrasez-nous, animez nos prières,
Réglez nos sens, guérissez nos langueurs.
Ô Saint-Esprit, donnez-nous vos lumières,
Venez remplir et posséder nos cœurs.

2- Priez pour moi, tendre Mère, ô Marie,
Obtenez-moi grâce auprès du Sauveur,
Pour écouter ses paroles de vie,
Et les garder comme vous dans mon cœur.

1- Jésus est la bonté même,
Il a mille doux appas ;
Cependant aucun ne l'aime,
On n'y pense presque pas.
Pendant que la créature
Nous embrase de ses feux,
Pour Dieu seul notre âme est dure :
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

2- Dieu devient un Dieu sensible,
Afin de mieux nous charmer ;
Mais en se rendant visible,
A-t-il pu se faire aimer ?
Lorsqu'un tendre amour le presse
De prévenir tous nos vœux,
Quel retour ? Nulle tendresse ;
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

3- D'un enfant il prend les charmes,
Pour attendrir les humains ;
Pour cela de douces larmes
Coulent de ses yeux divins.
Notre âme est-elle attendrie
Par ses efforts généreux ?
Elle est toujours endurcie ;
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

4- De la divine justice
Jésus porte tout le poids,
Il nous sauve du supplice
En mourant sur une croix.
Et pour tant de bienveillance
Avons-nous, ô malheureux !
La moindre reconnaissance ?
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

5- Jésus, dans l'Eucharistie,
Par un prodige d'amour,
Devient notre pain de vie,
Notre pain de chaque jour.
Au milieu de tant de flammes,
Dans ce mystère pieux,
Que de froideur dans nos âmes !
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

6- Il daigne en vain de ce trône
Nuit et jour nous inviter ;
Jamais y voit-on personne
Qui vienne le visiter ?
Sa maison est délaissée,
Son entretien ennuyeux,
Et sa table méprisée ;
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

7- Mon Jésus n'a point d'asile
Contre les coups des mortels ;
C'est un rempart inutile
Que son trône et ses autels.
Chaque jour, rempli de rage,
Le pécheur audacieux,
Au lieu saint lui fait outrage ;
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

8- Tous les jours se renouvelle
Contre mon divin Sauveur
Cette trahison cruelle
Qui fit tant souffrir son Cœur.
Oh ! combien de parricides,
Recevant le Roi des cieux,
Donnent des baisers perfides !
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

9- Une croix pour lui cruelle,
C'est un corps dans le péché ;
À cette chair criminelle,
Qu'on l'a souvent attaché !
Tout est souillé par les vices
Que je découvre en tous lieux :
Pour Jésus que de supplices !
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux.

"En labourant la plaine" (cantique de la moisson)

Je suis chrétien ! (cantique traditionnel)

R./ Je suis chrétien ! voilà ma gloire
Mon espérance et mon soutien,
Mon chant d'amour et de victoire :
Je suis chrétien, je suis chrétien !


1- Je suis chrétien ! à mon Baptême
L'eau sainte a coulé sur mon front ;
La grâce en ce moment suprême,
De mon âme a lavé l'affront.

2- Je suis chrétien ! j'ai Dieu pour Père ;
À sa loi je veux obéir ;
Avec sa grâce salutaire,
Pour lui je veux vivre et mourir.

3- Je suis chrétien ! je suis le frère
De Jésus-Christ, mon Rédempteur ;
L'aimer, le servir et lui plaire
Fera ma gloire et mon bonheur.

4- Je suis chrétien ! je suis le temple
Du Saint-Esprit, du Dieu d'amour ;
Celui que tout le Ciel contemple
Possède mon cœur sans retour.

5- Je suis chrétien ! ô sainte Église,
Je suis devenu votre enfant ;
Plein d'amour, d'une foi soumise,
Je suivrai votre enseignement.

6- Je suis chrétien ! j'ai pour bannière
La Croix de mon divin Sauveur ;
Mes ennemis me font la guerre,
Mais je me ris de leur fureur.

7- Je suis chrétien ! sur cette terre
Je passe comme un voyageur ;
Ici-bas tout n'est que misère,
Rien ne saurait remplir mon cœur.

8- Je suis chrétien ! ô ma patrie,
Beau Ciel, j'irai te voir un jour ;
En Dieu je trouverai la vie,
La paix, le bonheur et l'amour.

1- En labourant la plaine
Avec mes bons chevaux,
Je lance à gorge pleine
Ma prière aux échos.

R./ Élève-toi, mon âme,
Élève-toi, mon âme à Dieu ;
Sans cesse élève-toi, mon âme,
Sans cesse élève-toi, mon âme à Dieu.


2- De l'aube à la nuit claire
Je sème le bon grain,
Disant : Vous, notre Père,
Donnez-nous notre pain.

3- Je veux pour toute chose
Bénir et chanter Dieu :
Quand pleure un ciel morose,
Quand rit un ciel tout bleu.

4- Lorsque le froid m'assiège,
Quand l'hiver a tissé
Son grand linceul de neige
Sur mon pays glacé :

5- Devant la plaine verte,
Devant les lins d'azur,
Devant la rose ouverte,
Devant le ciel si pur :

6- Devant la nuit profonde
Où les midis flambants,
Quand plane sur le monde
La paix des soirs tombants :

7- Devant l'ardente gerbe
Présent de Messidor,
Devant le char superbe
Ployant sous les blés d'or :

8- La plaine est moissonnée,
Le grand travail fini :
Le pain pour une année !
Ô Père, sois béni !

9- Un jour le blé des granges,
Porté sur un autel,
Sera le Pain des Anges
Qui fait l'homme immortel.

Chemin de la Croix ("Suivons, chrétiens, sur le Calvaire")

"Suivons, chrétiens, sur le Calvaire

Chemin de la Croix : "Suivons sur la montagne sainte"

Chemin de la Croix 
(4 cantiques _ paroles en PDF)
110 ko
Chemin_de_la_Croix_4_cantiques_.pdf

"Quand l'eau sainte du Baptême" (cantique traditionnel)

1- Quand l'eau sainte du baptême
Coula sur nos fronts naissants,
Et qu'un Dieu, la bonté même,
Nous adopta pour enfants,
Muets encore,
D'autres promirent pour nous :
Aujourd'hui confessons tous
La foi dont un chrétien s'honore.

R./ Foi de nos pères,
Notre règle et notre amour,
Nous embrassons en ce jour
Et ta morale et tes mystères.

2- En vain à ma foi soumise
S'oppose un orgueil trompeur ;
Sur les traces de l'Église
Puis-je marcher dans l'erreur ?
Trinité sainte,
Je te confesse et te crois ;
Et je t'adore trois fois,
Et plein d'amour et plein de crainte.

3- Par un funeste héritage,
Nos parents, avec le jour,
Nous transmirent en partage
La haine d'un Dieu d'amour.
En vain je crie,
En vain je répands des pleurs ;
Mais Jésus a dit : Je meurs,
Et sa mort me rend à la vie.

4- Ciel ! quelle robe éclatante !
Quel bain pur et bienfaisant !
Quelle parole puissante,
D'un Dieu m'a rendu l'enfant !
Je te baptise...
Le ciel s'ouvre, plus d'enfer ;
Et des Anges le concert
M'introduit au sein de l'Église.

5- De quel œil de complaisance
Vous me vîtes, ô mon Dieu !
Quand, revêtu d'innocence,
On m'emporta du saint lieu !
Pensée amère !
Ô beau jour trop tôt passé !
Hélas ! je me suis lassé,
Mon Dieu, de vous avoir pour Père.

"Chrétien, veux-tu plaire à mon Cœur" 

Le tout pour Dieu 

1- Chrétien, veux-tu plaire à mon Cœur,
Gagner le Ciel et son bonheur ?
Écoute ma parole. (bis)

R./ Oui, nous le jurons,
À ton appel nous répondrons !
Oui, nous le jurons,
En vrais chrétiens tous nous vivrons !


2- Sans peur et sans respect humain,
Marche toujours droit ton chemin ;
Sois fier de tes croyances. (bis)

3- Le dimanche, messe entendras,
Le saint repos tu garderas :
Donne à Dieu le dimanche. (bis)

4- Le soir, avant de t'endormir,
Demande à Dieu de te bénir,
Récite tes prières. (bis)

5- Je t'ai donné le Pain du Ciel,
Viens le cœur pur à mon autel
Manger ce Pain de vie. (bis)

6- Ne fais jamais de faux serments.
Évite les vains jurements,
Déteste le blasphème. (bis)

7- L'Église à pleine autorité
Pour t'enseigner la vérité.
Respecte sa doctrine. (bis)

8- Fuis le journal blasphémateur,
Renonce au livre corrupteur.
Ils ont perdu tant d'âmes ! (bis)

9- Époux, le vrai bonheur pour toi,
C'est que toujours ma sainte loi
Préside à ta famille. (bis)

10- Que la Vierge, quand tu mourras,
Soutienne ton front sur ses bras :
Elle est ta bonne Mère. (bis)

11- Ainsi tu reverras au Ciel,
Dans le rendez-vous éternel,
Tous ceux que ton cœur aime. (bis)

Le tout pour Dieu ! (paroles en PDF)
76 ko
Le_tout_pour_Dieu.pdf

L'ouvrier chrétien "Quand Jésus vint sur la terre"

1- Quand Jésus vint sur la terre,
Ce fut pour y travailler.
Il voulut, touchant mystère,
Comme nous être ouvrier.

R./ Espérance de la France,
Ouvriers, soyons chrétiens ;
Que notre âme soit de flamme

Pour l'auteur de tous les biens. (bis)

2- Le travail, ô divin Maître,
Est par vous transfiguré ;
L'atelier, tel qu'il doit être,
Est digne d'être honoré.

3- Vous avez mis votre empreinte,
Ô Jésus, sur nos outils,
Et vous écoutez la plainte
Du dernier des apprentis.

4- Le repos, chaque dimanche,
Pour nous règne à l'atelier ;
Et le Cœur de Dieu s'épanche
Sur le pauvre et l'ouvrier.

5- Nous croyons au Dieu suprême
Qui nous créa par amour ;
Nous croyons que c'est lui-même
Dont nous jouirons un jour.

6- Nous croyons au Dieu fait homme,
À sa Croix, à ses douleurs,
À sa bonté qu'il consomme
Quand il descend dans nos cœurs.

7- Nous acceptons la souffrance
Et les labeurs d'ici-bas ;
Une divine espérance
Nous soutient dans nos combats.

8- En pleurant sur nos souillures
Nous croyons au repentir,
Aux récompenses futures,
À l'éternel avenir.

La prière (cantique du Petit Séminaire de Lyon)

1- Prions avec ferveur ;
D'un cœur humble et sincère,
Que l'ardente prière
Monte jusqu'au Seigneur :
Prions avec ferveur. (bis)

2- Devoir délicieux !
Par toi notre âme adore,
Croit, espère, aime, implore,
S'élève jusqu'aux cieux ;
Devoir délicieux ! (bis)

3- Que ton pouvoir est grand,
Ô prière propice !
Tu fléchis la justice
Du Seigneur tout-puissant :
Que ton pouvoir est grand ! (bis)

4- Lorsque prie un pécheur,
Ta voix obtient sa grâce ;
Que de crimes efface
Une larme du cœur,
Lorsque prie un pécheur ! (bis)

5- Aux pieds de son Sauveur,
Qu'une âme pénitente
Est heureuse et contente
De répandre son cœur,
Aux pieds de son Sauveur. (bis)

6- À l'ombre des autels,
Heureux celui qui prie
Et qui se sanctifie
Loin des regards mortels,
À l'ombre des autels ! (bis)

7- De l'éternel bonheur
La source est la prière ;
À son feu salutaire
S'enflamme notre cœur
Pour l'éternel bonheur ! (bis)

8- Même au sein des malheurs,
En Dieu seul si j'espère,
Il me comble, en bon père,
D'ineffables douceurs,
Même au sein des malheurs. (bis)

9- Qu'une ardente oraison
Touche et console l'âme !
Tout cède à cette flamme :
Quel plus précieux don
Qu'une ardente oraison ! (bis)

10- Prions donc notre Dieu,
Et prions-le sans cesse ;
Implorons sa tendresse
En tout temps, en tout lieu :
Prions donc notre Dieu. (bis)

11- Pour vous prier, Seigneur,
Que faut-il que je fasse ?
J'ai besoin de la grâce ;
Donnez-moi la ferveur
Pour vous prier, Seigneur. (bis)

 "Jésus-Christ monte au Calvaire" (Chemin de la Croix sur un choral de Bach)

Chemin de la Croix 
(4 cantiques _ paroles en PDF)
110 ko
Chemin_de_la_Croix_4_cantiques_.pdf

Chant de la promesse Scout : "Je veux t'aimer sans cesse"

1- Devant tous je m'engage
Sur mon honneur,
Et je te fais hommage
De moi, Seigneur !

R./ Je veux t'aimer sans cesse,

De plus en plus !
Protège ma promesse,

Seigneur Jésus !

2- Je jure de te suivre
En fier chrétien,
Et tout entier je livre
Mon cœur au Tien.

3- Fidèle à ma Patrie
Je le serai ;
Tous les jours de ma vie,
Je servirai.

4- Je suis de tes apôtres,
Et chaque jour
Je veux aider les autres
Pour ton amour.

5- Ta Règle a sur nous-mêmes
Un droit sacré ;
Je suis faible, tu m'aimes :
Je maintiendrai !

Les commandements de Dieu et de l’Église)

"Arrête ici, passant, regarde cette tombe" 

Les Commandements de Dieu et de l’Église (paroles en PDF)
77 ko
Les_Commandements_de_Dieu_et_de_l_Eglise.pdf

1- Arrête ici, passant, regarde cette tombe :
À la mort comme moi il faut que tu succombes ;
Regarde bien comme la mort m'a mis,
Et comme j'ai quitté mes parents, mes amis.

2- Quand la mort me surprit au printemps de mon âge,
Je me piquais d'esprit, de force et de courage ;
Dans un moment je me vis terrassé :
Tu doutes, me voyant, si j'ai jamais été.

3- Entre dans ce tombeau, prends de cette poussière,
Tu n'y verras plus rien de ma beauté première ;
Entre et regarde au fond du monument :
Les vers ne m'ont laissé que les os seulement.

4- À peine de mes traits conserve-t-on l'image,
Et mon nom paraît-il sur la funèbre page :
On ne sait plus que par quelque écriteau
Qu'après avoir vécu je suis dans le tombeau.

5- En me voyant ainsi pense bien à toi-même ;
Ton arrêt est porté par le Juge suprême :
Tu viens ici d'un pas précipité,
Et dans peu va, pour toi, s'ouvrir l'éternité.

Mère de l'Espérance (cantique de Pontmain)

Le tout pour Dieu ! ("En tout ma première pensée")

Mère de l'Espérance
(paroles en PDF)
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Le tout pour Dieu ! (paroles en PDF)
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Le_tout_pour_Dieu.pdf