Montfort AJPM
Ad Jesum per Mariam
Le possédé albigeois (raconté par St L-M de Montfort)
Précieux Scapulaire (cantique du Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel)
1- Saint Dominique prêchant près de Carcassonne le saint Rosaire, un jour de l’an 1215, on lui amena un hérétique albigeois possédé par le démon.
2- Le saint l’exorcisa en présence d’une grande multitude de peuple ; on tient qu’il y avait plus de douze mille hommes à l’entendre.
3- Les démons, qui possédaient ce pauvre misérable, étant obligés de répondre malgré eux aux interrogations que le saint leur faisait, dirent :
4- Premièrement, qu’ils étaient quinze mille dans le corps de ce misérable, parce qu’il avait attaqué les quinze mystères du Rosaire ;
5- Deuxièmement, que, par le Rosaire qu’il prêchait, il mettait la terreur et l’épouvante dans tout l’enfer, et qu’il était l’homme du monde qu’ils haïssaient davantage à cause des âmes qu’il leur enlevait par la dévotion du Rosaire ;
6- Troisièmement, ils lui révélèrent plusieurs autres particularités.
7- Saint Dominique, ayant jeté son Rosaire au cou du possédé, leur demanda qui, de tous les saints du ciel, ils craignaient davantage et devait être plus aimé et honoré des hommes.
8- A cette interrogation, ils firent des cris si épouvantables que la plupart des auditeurs, saisis d’effroi, tombèrent par terre.
9- Ensuite, ces malins esprits, pour ne pas répondre, pleurèrent et se lamentèrent d’une manière si pitoyable, si touchante, que plusieurs des assistants en pleurèrent eux-mêmes, par une pitié naturelle.
10- Ils disaient par la bouche du possédé d’un ton de voix lamentable : « Dominique, Dominique, aie pitié de nous, nous te promettons que nous ne te nuirons jamais. Toi qui as tant de pitié des pécheurs et misérables, aie pitié de nous, misérables. Hélas, nous souffrons tant, pourquoi prends-tu plaisir à augmenter nos peines ? Contente-toi des peines que nous endurons. Miséricorde ! miséricorde ! miséricorde ! »
11- Le saint, sans être touché des paroles tendres de ces esprits malheureux, leur répondit qu’il ne cesserait de les tourmenter jusqu’à ce qu’ils eussent répondu à la question.
12- Les démons lui dirent qu’ils y répondraient, mais en secret et à l’oreille, et non pas devant tout le monde.
13- Le saint insiste et leur commande de parler et répondre tout haut.
14- Les diables ne voulurent plus dire mot, quelque commandement qu’il leur fit.
15- Il se mit à genoux et fit cette prière à la sainte Vierge : « Ô très sainte Vierge Marie, par la vertu du saint Rosaire, ordonnez à ces ennemis du genre humain de répondre à ma question. »
16- Cette prière étant faite, voilà qu’une flamme ardente sortit des oreilles, des narines et de la bouche du possédé, qui fit trembler tout le monde, mais cependant qui ne fit mal à personne.
17- Alors les diables s’écrièrent : « Dominique, nous te prions, par la Passion de Jésus-Christ et par les mérites de sa sainte Mère et de tous les saints, que tu nous permettes de sortir de ce corps sans rien dire ; car les anges, quand tu voudras, te le révèleront. Ne sommes-nous pas des menteurs ? Pourquoi veux-tu nous croire ? Ne nous tourmente pas davantage, aie pitié de nous.
18- « Malheureux que vous êtes, indignes d’être exaucés », dit saint Dominique, qui, se mettant encore à genoux, fit sa prière à la sainte Vierge :
19- « Ô très digne Mère de la Sagesse, je prie pour ce peuple ici présent qui déjà est instruit de la manière de bien dire la Salutation angélique. Forcez vos ennemis à confesser en public la vérité pleine et sincère sur ce point. »
20- Il n’eut pas plus tôt fini sa prière, qu’il vit la sainte Vierge près de lui, entourée d’une grande multitude d’anges, qui, avec une verge d’or qu’elle tenait à la main, frappait le démoniaque en lui disant : « Réponds à mon serviteur Dominique, selon sa demande. »
21- Il faut remarquer que le peuple n’entendait ni ne voyait point la sainte Vierge ; il n’y avait que saint Dominique.
22- Alors les démons commencèrent à s’écrier en disant :
23- « Ô notre ennemie, ô notre ruine, ô notre confusion, pourquoi êtes-vous venue exprès du ciel pour nous tourmenter si fort ? Faut-il que, malgré nous, ô avocate des pécheurs qui les retirez des enfers, ô chemin très assuré du Paradis, nous soyons obligés de dire toute la vérité ? Faut-il que nous confessions devant tout le monde ce qui sera la cause de notre confusion et de notre ruine ? Malheur à nous, malheur à nos princes de ténèbres.
24- « Écoutez donc, chrétiens. Cette Mère de Jésus-Christ est toute-puissante pour empêcher que ses serviteurs ne tombent en enfer ; c’est elle qui, comme un Soleil, dissipe les ténèbres de nos machines et finesses ; c’est elle qui évente nos mines, qui rompt nos pièges et rend toutes nos tentations inutiles et sans effet.
25- « Nous sommes contraints d’avouer qu’aucun de ceux qui persévèrent dans son service n’est damné avec nous.
26- « Un seul de ses soupirs qu’elle offre à la Sainte-Trinité, surpasse toutes les prières, les vœux et les désirs de tous les saints.
27- « Nous la craignons plus que tous les bienheureux ensemble et nous ne pouvons rien contre ses fidèles serviteurs.
28- « Plusieurs chrétiens mêmes qui l’invoquent à la mort, et qui devraient selon nos lois ordinaires être damnés, sont sauvés par son intercession.
29- « Ah ! si cette Mariette (c’est ainsi que leur rage la faisait appeler) ne s’était opposée à nos desseins et à nos efforts, nous aurions depuis longtemps renversé et détruit l’Église et fait tomber tous ses ordres dans l’erreur et l’infidélité.
30- « Nous protestons de plus, par la violence qu’on nous fait, qu’aucun de ceux qui persévèrent à dire le Rosaire n’est damné ; car elle obtient à ses dévots serviteurs une vraie contrition de leurs péchés par laquelle ils en obtiennent le pardon et l’indulgence. »
31- Alors saint Dominique fit réciter le Rosaire à tout le peuple, fort lentement et dévotement, et, à chaque Ave Maria que le saint et le peuple récitaient (chose étonnante), il sortait du corps de ce malheureux une grande multitude de démons, en forme de charbons ardents.
32- Les démons étant tous sortis et l’hérétique tout à fait délivré, la sainte Vierge donna, quoique invisiblement, sa bénédiction à tout le peuple, qui en ressentit une joie très sensible.
33- Ce miracle fut cause qu’un grand nombre d’hérétiques se convertirent et se mirent de la confrérie du saint Rosaire.
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LES 15 PROMESSES DU TRÈS SAINT ROSAIRE
« 1. Quiconque Me servira fidèlement par la récitation du Rosaire, recevra des grâces remarquables.
2. Je promets Ma protection spéciale et les plus grandes grâces à ceux qui réciteront le Rosaire.
3. Le Rosaire sera une armure puissante contre l’enfer ; il détruira le vie, il fera diminuer les péchés et vaincra les hérésies.
4. Il fera fleurir la vertu et les bonnes œuvres ; il obtiendra pour les âmes l’abondante miséricorde de Dieu ; il retirera les cœurs des hommes de l’amour du monde et de ses vanités, et les élèvera au désir des choses éternelles. Oh, ces âmes se sanctifieront de cette façon-là.
5. L’âme qui se recommande à Moi par la récitation du Rosaire, ne périra pas.
6. Quiconque récitera le Rosaire avec dévotion, en s’appliquant à la considération des saints mystères, ne sera jamais vaincu par le malheur. Dieu ne le châtiera pas dans Sa justice. La mort ne le prendra pas au dépourvu ; s’il est juste, il restera dans la grâce de Dieu et deviendra digne de la vie éternelle.
7. Quiconque aura une vraie dévotion envers le Rosaire ne mourra pas sans les Sacrements de l’Église.
8. Ceux qui sont fidèles à réciter le Rosaire auront durant leur vie et à la mort la lumière de Dieu et la plénitude de Ses grâces. Au moment de la mort ils participeront aux mérites des Saints en Paradis.
9. Je délivrerai du Purgatoire ceux qui ont été dévots au Rosaire.
10. Les enfants fidèles du Rosaire mériteront un haut degré de gloire dans le Ciel.
11. Vous obtiendrez tout ce que vous Me demanderez par la récitation du Rosaire.
12. Tous ceux qui propagent le saint Rosaire seront aidés par Moi dans leurs nécessités.
13. J’ai obtenu de Mon Divin Fils que tous les défenseurs du Rosaire auront pour intercesseurs la cour céleste entière durant leur vie et à l’heure de la mort.
14. Tous ceux qui récitent le Rosaire sont Mes fils, et les frères de Mon Fils unique Jésus-Christ.
15. La dévotion à Mon Rosaire est un grand signe de prédestination. »
La salutaire promesse attachée au port du Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel, voir ICI
De Marie, voulez-vous revêtir
Les incomparables Livrées ?
Voici donc, pour vous faire plaisir
Où vous pourrez les trouver :
www.traditions-monastiques.com/…/11-scapulaire-m…
Litanies & Prières : Prière du matin
LITANIES & PRIÈRES
enregistrement : entre 1979 et 1981
Gilbert Chevalier joue à l'orgue et chante les cantiques en même temps, c'est-à-dire que, vu sa cécité, tout en lisant le braille de la main gauche, il s'accompagne de la droite et du pédalier à l'orgue.
HISTORIQUE :
Il s'agit d'un sauvetage
Suite à un double naufrage.
Solesmes posséda ces chants :
Il les effaça sur-le-champ.
La première copie
À Fontgombault atterrit :
Son sort fut identique
À celui de l'original,
Et c'est ce qui explique,
Ce qui est d'ailleurs fatal,
La médiocre qualité
De cette deuxième copie
Qu'heureusement j'ai gardée.
Vive Jésus ! Vive Marie !
Si ces chants voulez encore sauver,
Il vous faut les télécharger,
Car ils ne seront pas ici
Éternellement reproduits.
Gilbert Chevalier
l'Aveugle-Vendéen
Les 79 LITANIES & PRIÈRES (102 vidéos) est ici.
Hymne à Jeanne contre la franc-maçonnerie (par Diana Vaughan)
Le Petit Office de la Sainte Vierge
1-Sublime enfant de la Lorraine,
Nous t’implorons à deux genoux ;
Reviens, sois notre capitaine.
Tu réponds : « Français, levez-vous !
Dans la ville et dans la bourgade,
Mettez vos cœurs à l’unisson ;
L’heure a sonné de la croisade
Contre l’ennemi franc-maçon ! »
R./Gloire à Jeanne ! gloire ! (bis)
Par Dieu, la victoire
Est aux nobles cœurs.
Élevons nos cœurs !
Nous serons vainqueurs !
Gloire à Jeanne ! gloire ! (bis)
2-Noms de Jésus et de Marie,
Par vous, nous serons les vainqueurs.
L’infernale maçonnerie
A mis le comble à nos malheurs ;
Hardi ! car voilà trop d’outrages !
De Jeanne écoutons la leçon.
Hardi ! réveillons nos courages ;
L’ennemi, c’est le franc-maçon !
3-Des sombres hordes maçonniques
Sachons déjouer les complots.
Pour Dieu, marchons, francs catholiques,
Contre Satan et ses suppôts !
L’espoir est rentré dans nos âmes ;
Point ne faut subir la rançon.
Jeanne a parlé : sus aux infâmes !
L’ennemi, c’est le franc-maçon !
4-L’ennemi, dans son noir repaire,
Se dit maître de notre sort.
Ô Jeanne d’Arc, en cette guerre,
L’enjeu, c’est la vie ou la mort.
Bataille ! et suivons ton exemple,
Ou lentement nous périssons.
De Satan détruisons le temple !
Dieu le veut ! Plus de franc-maçons !
Diana Vaughan est une convertie du luciférianisme maçonnique que l'apostat Léo Taxil, sous l'impulsion de la dite maçonnerie, a fait passé comme n'ayant pas existée. Cette vérité a été établie avec preuves à l'appui par la Revue Internationale des Sociétés Secrètes qui a été fondée par Mgr Jouin, revue qui s'est d'abord laissée abuser par l'infâme Taxil mais qui ensuite a rétabli toute la vérité après une étude très poussée de tous les documents. Malgré cela, la maçonnerie continue à entretenir le mythe. Le cantique ci-dessus a bien été composé par Diana Vaughan et a été chanté dans les églises catholiques avant que le mythe ne s'établisse. La plupart des catholiques sont dans l'ignorance la plus complète à ce propos, ignorance entretenue soigneusement par la secte.
Diana Vaughan a été livrée en pâture à la maçonnerie par Léo Taxil qui a eu l'ordre de la mystifier. Quant à elle, convertie par Ste Jeanne d'Arc, elle a été éliminée par la secte le lundi de Pâques 19 avril 1897 en tombant dans un guet-apens tendu par l'infâme Taxil.
Tout ce qui vient d'être dit ci-dessus est corroboré par cette parole du Convent du Grand-Orient de 1922 : "On doit sentir la maçonnerie partout, mais on ne doit la découvrir nulle part."
Ave maris Stella ou "Salut Astre des mers"
Le St curé d'Ars raconte : l'oiseau de Paradis
1- Salut, Astre des mers,
Mère de Dieu, féconde ;
Salut, ô toujours Vierge,
Porte heureuse du Ciel.
2- Vous qui, de Gabriel,
Avez reçu l’Ave,
Fondez-nous dans la paix,
Changez le nom d’Eva.
3- Délivrez les captifs,
Éclairez les aveugles,
Chassez loin tous les maux,
Demandez tous les biens.
4- Montrez-vous notre Mère,
Vous-même offrez nos vœux
À Dieu qui, né pour nous,
De vous a voulu naître.
5- Ô Vierge incomparable,
Vierge douce entre toutes,
Faites que, sans souillures,
Nous vivions doux et chastes.
6- Rendez notre vie pure,
Assurez notre route,
Pour que, voyant Jésus,
Notre joie soit sans fin.
7- Louange à Dieu le Père,
Gloire au Christ-Souverain,
Ainsi qu’au Saint-Esprit,
Aux Trois un seul honneur.
Amen.
Le Saint Curé d’Ars aimait beaucoup raconter l’histoire suivante :
« Il y avait, une fois, un bon religieux qui croyait qu’en Paradis le temps allait bien lui durer. Le Bon Dieu lui fit voir que non. Un jour qu’il était sorti dans les jardins du monastère, il vit un petit oiseau qui sautait de branche en branche et qui devenait toujours plus beau, à mesure qu’il le regardait. A la fin, il était si beau que le moine ne pouvait en détacher sa vue ; il se mit à le poursuivre, et il aurait bien voulu le prendre. Cependant, il s’arrêta, pensant qu’il y avait bien une demi-heure qu’il était à courir après son oiseau. Il rentra au monastère, et il fut très surpris de trouver, à la porte, un Frère qu’il n’avait jamais vu et le Frère ne le connaissait pas davantage. Son étonnement redoubla, lorsque, en parcourant la maison, il n’aperçut que des visages inconnus et des figures nouvelles. Il dit : « Et nos Pères, où sont-ils ? » Les autres le regardaient sans comprendre. Enfin, il dit son nom : on chercha dans les registres, et on vit qu’il y avait cent ans qu’il était sorti... Le Bon Dieu lui montra ainsi que le temps ne dure pas en Paradis. »
("La Mine d’or du Catéchiste ou le Catéchisme des Familles" par l’abbé Villeneuve, 1920)
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L’OISEAU DE PARADIS
(histoire versifiée par Gilbert Chevalier)
1- Voici une belle histoire
Que saint Jean-Marie Vianney
Vient nous remettre en mémoire
Et que lui-même contait.
2- C’était dans un monastère
Qu’il y avait une fois
Un bon religieux, un frère
Qui se disait à part soi,
3- Que dans le Ciel-Empyrée
Il allait bien s’ennuyer
À cause de la durée
Du temps qui ne peut passer.
4- Mais la sainte Providence
Le voyant dans cet état,
Lui donna l’intelligence
Par ce qu’il lui arriva.
5- Par une belle journée
Il sortit dans le jardin ;
Voici que sous la ramée
Il entendit un serein.
6- Levant les yeux, il regarde !
Il voit ce petit oiseau.
En le fixant, il n’a garde
De bouger, tant il est beau.
7- Il le fixe et fixe encore,
Et plus il le trouve beau :
Ses plumes couleur d’aurore
L’entraînent toujours plus haut.
8- Il vole de branche en branche
Et chante tout à loisir :
Il s’approche et puis se penche,
Se tourne et chante à ravir.
9- Le frère alors veut le prendre :
Le voilà partit plus loin.
Son chant est si doux, si tendre !
Il chante et chante sans fin.
10- Pendant une demi-heure
Le frère poursuit l’oiseau !
Il est tout près, il l’effleure !
D’un coup d’aile il est en haut.
11- Il vole, vole et s’envole,
Et voilà qu’il disparaît.
Le moine est là, sans parole !
Mais le voilà qui s’effraie !
12- Et il se dit en lui-même
Qu’il est bien temps de rentrer.
Il se sent hors de soi-même.
« Quel est ce nouveau portier ? »
13- Il ne reconnaît personne !
« Où sont mes Pères ? » dit-il.
Même la cloche qui sonne
Semble une autre, pense-t-il.
14- Les frères le dévisagent :
On ne le reconnaît pas.
Il dit son nom et son âge !
Rien n’y fait ! On ne sait pas.
15- Et l’on ouvre les registres :
Il y a au moins cent ans
Qu’on y voit, qu’on enregistre
Ce frère que l’on entend.
16- Cent ans, une demi-heure !
Il a compris la leçon.
Cent ans semblent tout à l’heure !
Et voilà bien ce que sont
17- Les heures de l’Empyrée :
Une heure, une éternité :
C’est l’éternelle journée
Où le temps ne peut durer.
18- Si un pauvre volatile
A pu le prendre cent ans,
Le Paradis en vaut mille
Et mille et mille et mille ans.
1- Voici une belle histoire
Que saint Jean-Marie Vianney
Vient nous remettre en mémoire
Et que lui-même contait.
2- C’était dans un monastère
Qu’il y avait une fois
Un bon religieux, un frère
Qui se disait à part soi,
3- Que dans le Ciel-Empyrée
Il allait bien s’ennuyer
À cause de la durée
Du temps qui ne peut passer.
4- Mais la sainte Providence
Le voyant dans cet état,
Lui donna l’intelligence
Par ce qu’il lui arriva.
5- Par une belle journée
Il sortit dans le jardin ;
Voici que sous la ramée
Il entendit un serein.
6- Levant les yeux, il regarde !
Il voit ce petit oiseau.
En le fixant, il n’a garde
De bouger, tant il est beau.
7- Il le fixe et fixe encore,
Et plus il le trouve beau :
Ses plumes couleur d’aurore
L’entraînent toujours plus haut.
8- Il vole de branche en branche
Et chante tout à loisir :
Il s’approche et puis se penche,
Se tourne et chante à ravir.
9- Le frère alors veut le prendre :
Le voilà partit plus loin.
Son chant est si doux, si tendre !
Il chante et chante sans fin.
10- Pendant une demi-heure
Le frère poursuit l’oiseau !
Il est tout près, il l’effleure !
D’un coup d’aile il est en haut.
11- Il vole, vole et s’envole,
Et voilà qu’il disparaît.
Le moine est là, sans parole !
Mais le voilà qui s’effraie !
12- Et il se dit en lui-même
Qu’il est bien temps de rentrer.
Il se sent hors de soi-même.
« Quel est ce nouveau portier ? »
13- Il ne reconnaît personne !
« Où sont mes Pères ? » dit-il.
Même la cloche qui sonne
Semble une autre, pense-t-il.
14- Les frères le dévisagent :
On ne le reconnaît pas.
Il dit son nom et son âge !
Rien n’y fait ! On ne sait pas.
15- Et l’on ouvre les registres :
Il y a au moins cent ans
Qu’on y voit, qu’on enregistre
Ce frère que l’on entend.
16- Cent ans, une demi-heure !
Il a compris la leçon.
Cent ans semblent tout à l’heure !
Et voilà bien ce que sont
17- Les heures de l’Empyrée :
Une heure, une éternité :
C’est l’éternelle journée
Où le temps ne peut durer.
18- Si un pauvre volatile
A pu le prendre cent ans,
Le Paradis en vaut mille
Et mille et mille et mille ans.
Gilbert Chevalier (aveugle)
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Le saint Curé d’Ars aimait beaucoup raconter l’histoire suivante :
« Il y avait, une fois, un bon religieux qui croyait qu’en Paradis le temps allait bien lui durer. Le Bon Dieu lui fit voir que non. Un jour qu’il était sorti dans les jardins du monastère, il vit un petit oiseau qui sautait de branche en branche et qui devenait toujours plus beau, à mesure qu’il le regardait. À la fin, il était si beau que le moine ne pouvait en détacher sa vue ; il se mit à le poursuivre, et il aurait bien voulu le prendre. Cependant, il s’arrêta, pensant qu’il y avait bien une demi-heure qu’il était à courir après son oiseau. Il rentra au monastère, et il fut très surpris de trouver, à la porte, un Frère qu’il n’avait jamais vu et le Frère ne le connaissait pas davantage. Son étonnement redoubla, lorsque, en parcourant la maison, il n’aperçut que des visages inconnus et des figures nouvelles. Il dit : « Et nos Pères, où sont-ils ? » Les autres le regardaient sans comprendre. Enfin, il dit son nom : on chercha dans les registres, et on vit qu’il y avait cent ans qu’il était sorti... Le Bon Dieu lui montra ainsi que le temps ne dure pas en Paradis. »
("La Mine d’or du Catéchiste ou le Catéchisme des Familles" par l’abbé Villeneuve, 1920)
Jeannette et ses Voix (poésie de Joseph Thérol)
Vie et gloires de Jeanne d'Arc (stances de l'abbé Gravier)
ST MICHEL :
1a-Vous n’irez plus filer en gardant vos moutons,
Les Saintes que voilà vous accompagnerons.
JEANNETTE :
1b- Sainte Marguerite,
Je suis trop petite,
Laissez
Filer
L’humble Jeannette en son pré.
STE CATHERINE :
2a-Jésus compte sur vous pour proclamer son droit ;
Vous trouverez chez moi son épée à Fierbois.
JEANNETTE :
2b-Sainte Catherine,
Prenez ma voisine,
Laissez
Filer
L’humble Jeannette en son pré.
ST MICHEL :
3-De l’Église de Dieu, la France est le rempart :
Partirez à son aide avec mon étendard.
Ayez confiance !
Grâce à vous la France
Lavée,
Sauvée,
Sera par Dieu relevée.
JEANNETTE :
4a-Si je ne file plus ma quenouille en ce pré,
Avec vos palmes d’or pourrai-je l’échanger ?
LES SAINTES :
4b-Cette récompense
De l’obéissance,
Mais oui
Merci,
Vous l’aurez, Jeannette, aussi.
JEANNETTE :
5-Saintes qui voulez bien gentiment me parler,
Pour le plaisir de Dieu, je vous obéirai.
Mais faites promesse
D’aider ma faiblesse.
Venez,
Venez
Me reprendre et m’enseigner.
JEANNETTE :
6a-Adieu mes chers moutons ! Je vous laisse en ce pré.
LES SAINTES :
6b-Vous irez délivrer des villes étouffées.
Saint Michel Archange,
Ses légions d’anges,
Et nous,
Et nous,
Nous combattrons avec vous.
1- Sous l’humble chaumière
D’un noble ouvrier,
La sainte guerrière,
Eut son doux foyer.
R1./ Ô Jeanne, entends nos vœux de bonheur :
Rends-nous la foi, la paix et l’honneur.
2- Famille modeste,
N’ayant qu’un seul vœu :
La grâce céleste,
La gloire de Dieu.
R2./ Sur ces côteaux où Jeanne pria,
Chantons, chantons : Ave Maria !
3- Mais à cette école
S’apprend le devoir ;
On prie, on s’immole,
On meurt plein d’espoir.
R3./ Ton nom béni fait battre nos cœurs :
Étends sur nous tes bras protecteurs.
4- La gente patrie
Que la Sainte aimait,
La France envahie
Hélas ! succombait.
R4./ Tout chante ici ton grand souvenir,
Ô Jeanne, ô vierge, ô sainte, ô martyr !
5- Ô honte et misère !
Où donc est son roi ?
Il fuit, désespère,
Doutant de son droit.
6- Mais près de sa mère
La vierge priait.
À cette prière
Le Ciel répondait.
7- Appels prophétiques
Au nom du Seigneur,
Des voix angéliques
Parlait à son cœur.
8- Des visions saintes
Montraient à ses yeux,
Pour calmer ses craintes
Les ordres des cieux.
9- La foi qui l’anime
Fait de cette enfant
Un guerrier sublime
Partout triomphant.
10- Du Dieu qui la guide
Proclamant la loi,
La vierge intrépide
Entraîne son roi.
11- Et l’armée entière
Accourt sans retard,
Valeureuse et fière,
Sous son étendard.
12- Voici la vengeance !
L’Anglais insolent
Reconnaît la France,
Et fuit en tremblant.
13- Car dans la mêlée,
Il voit Saint Michel
Brandir son épée
D’archange immortel.
14- Et nos villes prises
En un jour d’effroi,
Bientôt reconquises,
Acclament leur roi.
15- La France respire :
Son peuple est sauvé,
Et son noble sire
À Reims est sacré.
16- Mais de ce grand drame,
Vraiment surhumain,
Qui donc était l’âme
Et l’agent divin ?
17- La Sainte Vosgienne,
Fleur de Domrémy,
La grande chrétienne
Dont Dieu fut l’ami.
18- Quel autre spectacle
À plus de grandeur ?
Quel plus beau miracle
Ravit notre cœur ?
19- Faut-il donc redire
Seigneur, vos desseins ?
Oh ! oui, le martyre
Est le sceau des saints !...
20- Touchante victime
De notre salut,
Son sang magnanime
En est le tribut.
21- Blessée et trahie
Comme son Jésus,
On la supplicie,
Mais pour ses vertus.
22- Horrible supplice !...
Le feu, l’abandon !...
Infâme justice !...
Ô Jeanne, pardon !...
23- Ton âme si pure
Monte au Paradis ;
Dieu te transfigure
À nos yeux ravis.
24- Mais ton juge impie,
Mais ces renégats,
Portent l’infamie
Du traître Judas.
25- L’Église t’honore,
Ô Fille du ciel,
Et la France implore
Ton nom immortel.
26- La flamme cruelle
Nous laissait ton cœur :
Ô Sainte Pucelle,
Sois notre sauveur !
27- Sois notre barrière
Contre l’ennemi ;
Rends-nous la frontière
Du sol envahi !
28- Contre l’imposture
Rends-nous ta fierté.
Arrière au parjure
De la liberté !
29- À ta chère France
Rends son Dieu proscrit,
L’honneur, l’espérance,
Avec Jésus-Christ.
30- Ta sainte mémoire
Est notre rempart :
À nous la victoire
Sous ton étendard !
Combien la Volonté de Dieu est aimable (cantique de St Alphonse)
Prière à St Michel archange
1- Ton bon plaisir, ô Dieu ! c'est ce que j'aime ;
En lui seul je veux m'abîmer.
Qu'il est doux de vouloir ce que tu veux toi-même !
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
2- Dans ton ardeur, exigeante et jalouse,
Seule toujours tu veux charmer ;
Puis tu deviens si douce à l'âme qui t'épouse !
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
3- Tu rends parfait, et ton feu purifie
L'amour que tu viens allumer ;
Et s'élançant vers toi, l'âme ardente s'écrie :
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
4- Par toi la peine en plaisir est changée,
Et la mort ne peut alarmer ;
De craintes, de douleurs, notre âme est dégagée.
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
5- C'est dans le ciel que goûte tes délices
L'âme qui se laisse enflammer ;
Mais ces plaisirs, sans toi, deviendraient des supplices.
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
6- Si le démon, même dans sa torture,
Pouvait à toi se conformer,
Son malheur deviendrait un bonheur sans mesure.
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
7- Ah ! pour mourir, c'est mon unique envie,
Puissé-je en toi me transformer :
Mourir ainsi, c'est vivre une éternelle vie !
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
8 - Je te consacre, ô Jésus ! tout moi-même ;
Prends mon cœur pour le consumer :
Ton Cœur seul, désormais, est mon amour suprême.
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
9- Plaisirs, chagrins, j'offre tout pour te plaire ;
C'est toi seul que je veux charmer,
Et tout ce qui te plaît, est ce que je préfère.
Ô Volonté de Dieu ! quel bonheur de t'aimer !
Saint Michel Archange,
Défendez-nous dans le combat,
Soyez notre secours contre la malice
Et les embûches du démon ;
Que Dieu exerce sur lui son empire,
Nous vous le demandons en suppliant.
Et vous Prince de la milice céleste
Armé de la force de Dieu,
Et vous Prince de la milice céleste
Repoussez en enfer Satan
Et les autres esprits mauvais
Qui rôdent dans le monde
Pour perdre les âmes. Amen.
Prière au saint Patron
Litanies du Précieux-Sang
Seigneur, ayez pitié de nous.
Ô Christ, ayez pitié de nous.
Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus-Christ, écoutez-nous.
Jésus-Christ, exaucez-nous.
Père Céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Fils Rédempteur du monde qui êtes Dieu,
Esprit-Saint Consolateur qui êtes Dieu,
Trinité sainte qui êtes un seul Dieu,
Sang du Christ, Fils unique du Père éternel, sauvez-nous.
Sang du Christ, Verbe de Dieu incarné,
Sang du Christ, de la nouvelle et éternelle alliance,
Sang du Christ, ruisselant jusqu’à terre pendant l’agonie,
Sang du Christ, jailli sous la flagellation,
Sang du Christ, répandu au couronnement d’épines,
Sang du Christ, versé sur la Croix,
Sang du Christ, prix de notre salut,
Sang du Christ, sans lequel il n’y a pas de pardon,
Sang du Christ, qui désaltérez et purifiez les âmes dans l’Eucharistie,
Sang du Christ, fleuve de miséricorde,
Sang du Christ, vainqueur des démons,
Sang du Christ, force des martyrs,
Sang du Christ, vigueur des confesseurs,
Sang du Christ, qui suscitez les vierges,
Sang du Christ, fermeté de ceux qui sont dans l’épreuve,
Sang du Christ, soulagement de ceux qui peinent,
Sang du Christ, consolation dans les larmes,
Sang du Christ, espérance des pénitents,
Sang du Christ, réconfort des mourants,
Sang du Christ, paix et douceur des cœurs,
Sang du Christ, gage de la vie éternelle,
Sang du Christ, délivrance des âmes du Purgatoire,
Sang du Christ, très digne de toute gloire et de tout honneur,
Agneau de Dieu, qui ôtez le péché du monde, pardonnez-nous Seigneur.
Agneau de Dieu, qui ôtez le péché du monde, exaucez-nous Seigneur.
Agneau de Dieu, qui ôtez le péché du monde, ayez pitié de nous Seigneur.
Jésus-Christ, écoutez-nous.
Jésus-Christ, exaucez-nous.
V. Vous nous avez racheté, Seigneur, au prix de votre Sang
R. Et vous avez fait de nous un royaume pour notre Dieu.
Prions :
Dieu éternel et Tout-Puissant, vous avez donné au monde pour Rédempteur votre Fils unique et vous avez voulu vous laisser fléchir par son Sang, prix de notre salut ; accordez-nous de l’honorer si bien et de trouver en lui contre les maux de cette vie terrestre une si puissante défense, que nous goûtions dans les cieux la joie qui en est le fruit éternel ; par le même Jésus-Christ Notre-Seigneur votre Fils qui, étant Dieu, vit et règne avec vous dans l’unité du Saint-Esprit pour les siècles des siècles. Amen.
« Patron céleste,
dont je suis fier de porter le nom,
priez toujours pour moi auprès de Dieu.
Rendez ferme ma foi, fortifiez ma vertu, défendez-moi dans le combat,
afin que victorieux de l’ennemi mauvais, je mérite d’obtenir la gloire éternelle. Amen. »
Prière de la Médaille de St Benoît
Que la sainte Croix soit ma lumière !
Que le Dragon ne soit point mon guide !
Retire-toi, Satan :
Ne me conseille jamais tes vanités.
Que la sainte Croix soit ma lumière !
Que le Dragon ne soit point mon guide !
Retire-toi, Satan :
Les breuvages que tu offres, c’est le mal,
Bois toi-même tes poisons.
Saint Benoît, priez pour nous.
Les Trois Ave Maria
LE CIEL OUVERT PAR LA PRATIQUE DES TROIS AVE MARIA
1- Un des plus grands moyens de salut, un des signes de prédestination les plus certains, est, sans contredit, la dévotion à la Très Sainte Vierge. Tous les saints docteurs sont unanimes à le dire avec saint Alphonse de Liguori : « Le dévot serviteur de Marie ne périra jamais. »
Le principal est de persévérer fidèlement jusqu’à la mort dans cette dévotion.
2- Est-il une pratique plus facile, plus à la portée de tous, que celle de réciter chaque jour Trois Ave Maria, en l’honneur des privilèges conférés par l’adorable Trinité à la Vierge Immaculée : Puissance, Sagesse, Miséricorde ?
3- La salutaire pratique des Trois Ave Maria a été révélée et enseignée à sainte Mechtilde par la Reine du ciel elle-même comme un moyen d’obtenir sûrement la grâce de la persévérance finale ou de la bonne mort.
4- Un des plus zélés propagateurs des Trois Ave Maria est saint Léonard de Port-Maurice. Ce célèbre missionnaire faisait réciter les Trois Ave Maria, matin et soir, en l’honneur de Marie Immaculée, pour obtenir la grâce d’éviter tout péché mortel, et pendant le jour, et pendant la nuit. De plus, il promettait le salut, d’une manière certaine, à ceux qui y seraient constamment fidèles.
5- À la suite de saint Léonard de Port-Maurice, saint Alphonse de Liguori adopta la pieuse pratique des Trois Ave Maria et lui donna l’appui de sa haute autorité. Il la conseillait beaucoup et l’imposait même comme pénitence à ceux qui n’en avaient pas l’habitude.
6- Saint Alphonse de Liguori exhorte en particulier les parents et les confesseurs à veiller soigneusement à ce que les enfants soient fidèles à réciter, chaque jour, leurs Trois « Je vous salue, Marie », le matin et le soir.
Ou plutôt, à l’exemple de saint Léonard, il les recommande instamment à tous, « aux dévots et aux pécheurs », aux hommes et aux femmes, aux jeunes gens et aux jeunes filles.
Les personnes consacrées à Dieu en retireront elles-mêmes de précieux fruits de salut.
Aussi, dans certains pays, cette pratique est-elle adoptée par la généralité des fidèles.
7- De nombreux exemples montrent combien la dévotion aux Trois Ave Maria est agréable à la divine Mère, et quelles grâces particulières elle attire, pendant la vie et à l’heure de la mort, à ceux qui ne l’omettent jamais un seul jour.
8- Par un bref du 8 février 1900, le Souverain Pontife Léon XIII a sanctionné la pieuse coutume des Trois Ave Maria en accordant, à perpétuité, sur la demande d’un Frère Mineur Capucin, une indulgence de 200 jours, applicable aux âmes du Purgatoire, en faveur de tous ceux qui réciteraient les Trois Ave Maria, le matin et le soir, avec l’invocation recommandée par saint Alphonse : « Mater mea, libera me hodie a peccato mortali », ou en français : « Ô ma Mère, préservez-moi aujourd’hui du péché mortel. »
9- Comme l’invocation doit être récitée une fois, le matin et le soir, après les Trois Ave Maria - de préférence à la fin de la prière habituelle - on conseille de dire, le matin : « Ô ma Mère, préservez moi du péché mortel pendant ce jour », et, le soir, « pendant cette nuit », ce que permit Benoît XV dans son bref du 30 juillet 1921 : « sans que l’indulgence attachée à l’invocation n’en subisse aucune perte ».
10- Sa Sainteté Pie X a daigné accorder la Bénédiction Apostolique à tous ceux qui observeront la pieuse pratique des Trois Ave Maria.
« Oh ! quelle sainte pratique de piété, assurait saint Léonard de Port-Maurice, c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
Le possédé albigeois (raconté par St L-M de Montfort)
1- Saint Dominique prêchant près de Carcassonne le saint Rosaire, un jour de l’an 1215, on lui amena un hérétique albigeois possédé par le démon.
2- Le saint l’exorcisa en présence d’une grande multitude de peuple ; on tient qu’il y avait plus de douze mille hommes à l’entendre.
3- Les démons, qui possédaient ce pauvre misérable, étant obligés de répondre malgré eux aux interrogations que le saint leur faisait, dirent :
4- Premièrement, qu’ils étaient quinze mille dans le corps de ce misérable, parce qu’il avait attaqué les quinze mystères du Rosaire ;
5- Deuxièmement, que, par le Rosaire qu’il prêchait, il mettait la terreur et l’épouvante dans tout l’enfer, et qu’il était l’homme du monde qu’ils haïssaient davantage à cause des âmes qu’il leur enlevait par la dévotion du Rosaire ;
6- Troisièmement, ils lui révélèrent plusieurs autres particularités.
7- Saint Dominique, ayant jeté son Rosaire au cou du possédé, leur demanda qui, de tous les saints du ciel, ils craignaient davantage et devait être plus aimé et honoré des hommes.
8- A cette interrogation, ils firent des cris si épouvantables que la plupart des auditeurs, saisis d’effroi, tombèrent par terre.
9- Ensuite, ces malins esprits, pour ne pas répondre, pleurèrent et se lamentèrent d’une manière si pitoyable, si touchante, que plusieurs des assistants en pleurèrent eux-mêmes, par une pitié naturelle.
10- Ils disaient par la bouche du possédé d’un ton de voix lamentable : « Dominique, Dominique, aie pitié de nous, nous te promettons que nous ne te nuirons jamais. Toi qui as tant de pitié des pécheurs et misérables, aie pitié de nous, misérables. Hélas, nous souffrons tant, pourquoi prends-tu plaisir à augmenter nos peines ? Contente-toi des peines que nous endurons. Miséricorde ! miséricorde ! miséricorde ! »
11- Le saint, sans être touché des paroles tendres de ces esprits malheureux, leur répondit qu’il ne cesserait de les tourmenter jusqu’à ce qu’ils eussent répondu à la question.
12- Les démons lui dirent qu’ils y répondraient, mais en secret et à l’oreille, et non pas devant tout le monde.
13- Le saint insiste et leur commande de parler et répondre tout haut.
14- Les diables ne voulurent plus dire mot, quelque commandement qu’il leur fit.
15- Il se mit à genoux et fit cette prière à la sainte Vierge : « Ô très sainte Vierge Marie, par la vertu du saint Rosaire, ordonnez à ces ennemis du genre humain de répondre à ma question. »
16- Cette prière étant faite, voilà qu’une flamme ardente sortit des oreilles, des narines et de la bouche du possédé, qui fit trembler tout le monde, mais cependant qui ne fit mal à personne.
17- Alors les diables s’écrièrent : « Dominique, nous te prions, par la Passion de Jésus-Christ et par les mérites de sa sainte Mère et de tous les saints, que tu nous permettes de sortir de ce corps sans rien dire ; car les anges, quand tu voudras, te le révèleront. Ne sommes-nous pas des menteurs ? Pourquoi veux-tu nous croire ? Ne nous tourmente pas davantage, aie pitié de nous.
18- « Malheureux que vous êtes, indignes d’être exaucés », dit saint Dominique, qui, se mettant encore à genoux, fit sa prière à la sainte Vierge :
19- « Ô très digne Mère de la Sagesse, je prie pour ce peuple ici présent qui déjà est instruit de la manière de bien dire la Salutation angélique. Forcez vos ennemis à confesser en public la vérité pleine et sincère sur ce point. »
20- Il n’eut pas plus tôt fini sa prière, qu’il vit la sainte Vierge près de lui, entourée d’une grande multitude d’anges, qui, avec une verge d’or qu’elle tenait à la main, frappait le démoniaque en lui disant : « Réponds à mon serviteur Dominique, selon sa demande. »
21- Il faut remarquer que le peuple n’entendait ni ne voyait point la sainte Vierge ; il n’y avait que saint Dominique.
22- Alors les démons commencèrent à s’écrier en disant :
23- « Ô notre ennemie, ô notre ruine, ô notre confusion, pourquoi êtes-vous venue exprès du ciel pour nous tourmenter si fort ? Faut-il que, malgré nous, ô avocate des pécheurs qui les retirez des enfers, ô chemin très assuré du Paradis, nous soyons obligés de dire toute la vérité ? Faut-il que nous confessions devant tout le monde ce qui sera la cause de notre confusion et de notre ruine ? Malheur à nous, malheur à nos princes de ténèbres.
24- « Écoutez donc, chrétiens. Cette Mère de Jésus-Christ est toute-puissante pour empêcher que ses serviteurs ne tombent en enfer ; c’est elle qui, comme un Soleil, dissipe les ténèbres de nos machines et finesses ; c’est elle qui évente nos mines, qui rompt nos pièges et rend toutes nos tentations inutiles et sans effet.
25- « Nous sommes contraints d’avouer qu’aucun de ceux qui persévèrent dans son service n’est damné avec nous.
26- « Un seul de ses soupirs qu’elle offre à la Sainte-Trinité, surpasse toutes les prières, les vœux et les désirs de tous les saints.
27- « Nous la craignons plus que tous les bienheureux ensemble et nous ne pouvons rien contre ses fidèles serviteurs.
28- « Plusieurs chrétiens mêmes qui l’invoquent à la mort, et qui devraient selon nos lois ordinaires être damnés, sont sauvés par son intercession.
29- « Ah ! si cette Mariette (c’est ainsi que leur rage la faisait appeler) ne s’était opposée à nos desseins et à nos efforts, nous aurions depuis longtemps renversé et détruit l’Église et fait tomber tous ses ordres dans l’erreur et l’infidélité.
30- « Nous protestons de plus, par la violence qu’on nous fait, qu’aucun de ceux qui persévèrent à dire le Rosaire n’est damné ; car elle obtient à ses dévots serviteurs une vraie contrition de leurs péchés par laquelle ils en obtiennent le pardon et l’indulgence. »
31- Alors saint Dominique fit réciter le Rosaire à tout le peuple, fort lentement et dévotement, et, à chaque Ave Maria que le saint et le peuple récitaient (chose étonnante), il sortait du corps de ce malheureux une grande multitude de démons, en forme de charbons ardents.
32- Les démons étant tous sortis et l’hérétique tout à fait délivré, la sainte Vierge donna, quoique invisiblement, sa bénédiction à tout le peuple, qui en ressentit une joie très sensible.
33- Ce miracle fut cause qu’un grand nombre d’hérétiques se convertirent et se mirent de la confrérie du saint Rosaire.
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PROMESSES QUE FIT LA SAINTE VIERGE A SAINT DOMINIQUE ET AU BIENHEUREUX ALAIN DE LA ROCHE EN FAVEUR DE LA DÉVOTION AU ROSAIRE
(ou les 15 promesses du Rosaire)
« 1- Quiconque récitera pieusement le Rosaire et persévèrera dans cette dévotion verra toutes ses prières exaucées.
2- Je promets une très spéciale protection et des grâces de choix aux dévots du Rosaire.
3- Le Rosaire sera un bouclier impénétrable, ruinera les hérésies, affranchira les âmes du joug du péché et des instincts mauvais.
4- Le Rosaire fera germer les vertus, attirera les miséricordes divines, remplacera dans les cœurs les affections périssables par le saint amour de Dieu et sanctifiera des multitudes d'âmes.
5- L’âme qui me témoignera sa confiance par la récitation du Rosaire ne périra pas.
6- Aucun de ceux qui récitent avec piété le Rosaire ne fera une fin malheureuse : pécheur, il se convertira ; juste, il persévérera jusqu'à la fin dans la grâce.
7- Je veux que tous ceux qui récitent dévotement le Rosaire trouvent dans leur vie et à leur mort réconfort et lumière et participent à la vie des bienheureux.
8- Les dévots du Rosaire ne mourront point sans le secours de l’Église.
9- Je délivrerai promptement du Purgatoire les dévots du Rosaire.
10- Ceux qui auront vraiment aimé pratiquer cette dévotion jouiront dans le Ciel d'une gloire particulière.
11- Tout ce que l'on me demandera en récitant le Rosaire, on l'obtiendra.
12- J’ai obtenu de mon Fils que les dévots du Rosaire aient comme frères dans la vie et dans la mort les bienheureux du Paradis.
13- J’assisterai dans toutes leurs nécessités ceux qui propageront le Rosaire.
14- Les dévots du Rosaire seront tous mes fils bien-aimés et les frères de Jésus-Christ.
15- La dévotion du Rosaire est une marque évidente de prédestination. »
Pour sauver le roi (Poème à Ste Jeanne d'Arc de Joseph Thérol)
1-Il paraît que de Lorraine
Vient sauver le roi,
Il paraît que de Lorraine
Vient sauver le roi,
Un tout jeune capitaine
Vêtu de noire futaine,
Oui, ma foi,
Pour sauver le roi.
2-Compagnon de pacotille
Ce cavalier-là!
Compagnon de pacotille
Ce cavalier-là!
Ce n’est qu’une folle fille
Qui comme un homme s’habille,
Oui, ma foi,
Pour sauver le roi.
3-C’est la Vierge souveraine,
Dit-on, qui l’envoie,
C’est la Vierge souveraine,
Dit-on, qui l’envoie,
Jusqu’à Chinon en Tourraine
Tirer la France de peine,
Oui, ma foi,
Et sauver le roi.
4-Si c’est la Vierge qui mène,
Alors oui, j’y crois!
Si c’est la Vierge qui mène,
Alors oui, j’y crois!
Car la France est son domaine,
Suffira d’une semaine,
Oui, ma foi,
Pour sauver le roi.
5-Faudra quand même lui faire
Cadeau d’un harnois,
Faudra quand même lui faire
Cadeau d’un harnois,
On ne s’en va pas en guerre
Armé d’étoffe légère,
Non, ma foi,
Pour sauver le roi.
6-D’une lame dérouillée
Trouvée à Fierbois,
D’une lame dérouillée
Trouvée à Fierbois,
Elle s’est appareillée
Et d’ardeur ensoleillée,
Oui, ma foi,
Fut sauver le roi.
7-Sus aux Anglais sur la Loire
Elle courut droit,
Sus aux Anglais sur la Loire
Elle courut droit,
Et Dieu lui donna la gloire
De remporter la victoire,
Oui, ma foi,
Pour sauver le roi.
8-A Reims, la sainte Pucelle
Par Auxerre et Troyes
A Reims, la sainte Pucelle
Par Auxerre et Troues
Mena la France fidèle
Voir la Justice éternelle,
Oui, ma foi,
Couronner le roi.
9-A la fin elle fut prise
Des méchants Anglois
A la fin elle fut prise
Des méchants Anglois.
L’ont fait brûler par traîtrise,
Mais la France était remise,
Oui, ma foi,
Aux mains de son roi.
10-Certes ce fut grand miracle,
Jeanne avait la foi,
Certes ce fut grand miracle,
Jeanne avait la foi,
Qui renverse tout obstacle
Et qu’on puise au tabernacle,
Oui, ma foi,
Au Cœur du Christ-Roi.
11-Si là-haut, Vierge Marie,
M’offrez un emploi,
Si là-haut, Vierge Marie,
M’offrez un emploi,
Je veux dans l’autre Patrie
Chanter votre Seigneurie,
Oui, ma foi,
Mère du Christ-Roi.
Les 15 oraisons de Ste Brigitte
Paroles de Saints pour une année
Tryptique instrumental ("Cœur Sacré de Jésus", "Je vous salue Marie", "Au nom du Père")
Cœur Sacré de Jésus,
Que votre règne arrive !
Cœur Sacré de Jésus,
Je crois en votre amour pour moi !
Cœur Sacré de Jésus,
J'ai confiance en vous !
*************************
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
*************************
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Cœur Sacré, Je vous salue Marie, Au nom du Père
Cœur Sacré de Jésus,
Que votre règne arrive !
Cœur Sacré de Jésus,
Je crois en votre amour pour moi !
Cœur Sacré de Jésus,
J'ai confiance en vous !
*************************
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
*************************
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
14 cantiques au Saint-Esprit
POUR DEMANDER L'ASSISTANCE DU SAINT-ESPRIT AVANT LE CATÉCHISME
I- AU SAINT-ESPRIT
pour le lundi (1)
1- Venez, venez, Esprit-Saint, dans nos cœurs :
Enflammez-les de vos saintes ardeurs,
Afin qu'étant remplis de votre amour
Nous méritions le céleste séjour.
2- Esprit divin, Esprit de vérité,
Éclairez-nous dans notre obscurité ;
Que votre amour nous fasse pratiquer
Les vérités qu'on va nous enseigner.
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II- AU SAINT-ESPRIT
pour le lundi (2)
1- Esprit divin, descendez sur la terre,
Versez dans nos cœurs la lumière,
Afin que nous croyons toutes les vérités,
Que maintenant on va nous enseigner.
2- Pour écouter avec fruit la doctrine,
Il faut que nos cœurs soient dociles ;
Mais ce n'est pas assez que nous ayons la foi,
Il faut de plus pratiquer ce qu'on croit.
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III- AU SAINT-ESPRIT
pour le mardi (1)
1- Esprit divin, Dieu des lumières,
Éclairez-nous dans notre obscurité :
Faites que d'une foi sincère
Nous croyons (bis) avec fermeté.
2- Mais ce n'est pas assez de croire
Les vérités qu'on va nous enseigner ;
Esprit-Saint, donnez-nous la grâce
Et l'amour (bis) pour les pratiquer.
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IV- AU SAINT-ESPRIT
pour le mardi (2)
1- Venez, ô Sanctificateur !
Venez pour embraser mon cœur :
Rallumez dedans moi,
Par vos divines flammes,
Le beau feu de la charité !
Enseignez-moi la vérité,
Et soyez pour toujours
Le Maître de mon âme.
2- Esprit-Saint, descendez sur moi,
Et pour m'instruire de ma foi,
Éclairez mon esprit
D'une vive lumière ;
Et lorsque par votre clarté
J'aurai connu la vérité,
Donnez-moi votre amour,
Qui me la fasse faire.
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V- AU SAINT-ESPRIT
pour le mercredi (1)
1- Venez, Esprit-Saint, pur amour,
Descendez sur nous en ce jour :
Allumez par vos traits vainqueurs
Le feu divin dans tous les cœurs.
2- Grand Dieu, souverain Créateur !
Envoyez le Consolateur :
Vous verrez, malgré les enfers,
Renouveler tout l'univers.
3- Vous qui seul êtes notre fin,
Guidez-nous par l'Esprit divin ;
Faites, Seigneur, qu'à tous moments
Nous en suivions les mouvements.
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VI- AU SAINT-ESPRIT
pour le mercredi (2)
1- Amour sacré, feu consumant,
Vous qui vivifiez nos âmes,
Faites qu'en cet heureux moment
Nous ressentions vos douces flammes.
Brillez, divin soleil : embrasez tous les cœurs
De vos saintes ardeurs. (bis)
2- Dans tout pécheur, l'iniquité
A défiguré votre image,
Venez, Esprit de charité,
Réparer ce cruel outrage ;
Et malgré les enfers, hâtez votre retour,
Triomphez, Dieu d'amour. (bis)
*******************************
VII- À DIEU
pour le jeudi
1- Écoutez mes prières :
Seigneur, éclairez-moi.
Mon Dieu, sans le secours de vos lumières,
Comment pourrai-je apprendre votre loi ?
2- Si dès ma tendre enfance,
Vous m'avez fait chrétien,
Mon devoir, joint à ma reconnaissance,
Est d'apprendre et de pratiquer le bien.
*******************************
VIII- AU SAINT-ESPRIT
pour le vendredi (1)
1- Esprit divin, Père de nos esprits,
Qui dans notre âme avez peint votre
image ;
Divin amour, dont nos cœurs sont épris,
Venez vous-même animer votre ouvrage.
2- Accordez-nous, Esprit de charité,
De vous connaître, et le Fils, et le Père,
Et de pouvoir, durant l'éternité,
Et dans le temps, adorer ce mystère.
*******************************
IX- AU SAINT-ESPRIT
pour le vendredi (2)
1- Ô Saint-Esprit, donnez-nous vos
lumières !
Venez en nous pour nous embraser tous,
Pour nous régler et former nos prières :
Nous ne pouvons faire aucun bien sans vous.
2- Priez pour nous, Sainte Vierge Marie,
Obtenez-nous grâce auprès du Sauveur,
Pour écouter ses paroles de vie,
Et les garder, comme vous, dans nos cœurs.
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X- AU SAINT-ESPRIT
pour le samedi (1)
1- Afin d'être docile et sage,
Seigneur, donnez-moi votre Esprit,
Pour apprendre, selon mon âge,
Les vérités de Jésus-Christ.
2- Esprit-Saint, faites-moi comprendre
Ce que vous m'allez expliquer ;
Mais en me le faisant apprendre,
Faites-le moi bien pratiquer.
3- Aimons Dieu dès notre bas âge,
N'agissons que par charité ;
Faisons ici l'apprentissage,
Pour l'aimer dans l'éternité.
*******************************
XI- À MARIE
pour le samedi (2)
1- Je vous salue, Marie, du Saint-Esprit choisie,
Vous êtes de grâces remplie,
Et le Seigneur est avec vous :
Vous êtes par-dessus toutes femmes bénie.
Que le bienheureux fruit qui prit de vous la vie,
Soit à jamais béni de tous.
2- Sainte Vierge, Marie, incomparable Mère,
D'un Fils qui n'a que Dieu pour Père,
Et qui s'est fait notre Sauveur,
Priez présentement et à l'heure dernière :
Quand nous ne pourrons plus vous offrir nos prières,
Priez pour nous pauvres pécheurs.
*******************************
XII- DIALOGUE ENTRE JÉSUS ET UN ENFANT SUR LA DOCTRINE CHRÉTIENNE
pour le dimanche (1)
JÉSUS :
1- Mon Fils, pour apprendre
Le vrai chemin du Paradis,
Venez pour entendre
Ce que je dis :
C'est une doctrine
Où j'ai fait dessein d'enseigner
Ma loi divine
Pour vous sauver.
L'ENFANT :
2- Sauveur débonnaire,
Docteur de toute vérité,
On ne peut vous plaire
Sans charité :
Notre cœur s'empresse
À bien apprendre à vous aimer ;
Et veut sans cesse
Vous écouter.
JÉSUS :
3- Ma sainte parole
Demande un cœur humble et soumis :
Pour l'esprit frivole
J'ai du mépris.
Un enfant bien sage
Chérira mes enseignements,
Et le volage
Ses passe-temps.
L'ENFANT :
4- Faites-nous la grâce,
Pour profiter de vos bontés,
Que notre cœur fasse
Vos volontés.
À votre doctrine
Nous irons tous avec ferveur ;
C'est l'origine
De tout bonheur.
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XIII- SUR L’ÉGLISE
pour le dimanche (2)
1- Salut, aimable et cher asile,
Où Dieu même instruit ses enfants,
Où, des beautés de l'Évangile,
Il charme leur cœur innocent.
Ce n'est plus au bruit du tonnerre
Qu'il vient leur annoncer ses lois ;
C'est un Sauveur, un tendre Père,
Dont j'entends aujourd'hui la voix. (bis)
2- Ici la Foi de ses nuages
Semble à nos yeux se dégager,
Et les esprits les plus volages
Sous son joug viennent se ranger.
Ici, de son souffle ineffable,
La grâce enflamme nos désirs,
Nous rend la vertu plus aimable,
De nos devoirs fait nos plaisirs. (bis)
3- Dans tes murs, sacré sanctuaire,
Le Ciel pour nous a plus d'attraits ;
Plus vive y monte ma prière,
Plus prompts descendent ses bienfaits.
Ah ! pour cette troupe nombreuse,
Qu'ici commence le beau jour,
Où des Saints la famille heureuse
Vivra, Seigneur, de ton amour. (bis)
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XIV- AU SAINT-ESPRIT
pour le dimanche (3)
Esprit d'amour, céleste flamme,
Par qui brûle le cœur des Saints,
Daigne répandre dans mon âme
Les rayons de tes feux divins.
Étends sur moi ton doux empire,
Viens m'embraser, et dans mon cœur
Fais que tout autre amour expire,
Et n'y laisse que ton ardeur. (bis)
Sub Tuum præsidium
Appel aux enfants (poésie à Ste Jeanne d'Arc de Diana Vaughan)
1- Petits enfants, dont la prière apaise
Du Tout-Puissant le trop juste courroux,
Au six janvier, que la grande Française
Parle à vos cœurs !... Enfants, souvenez-vous !
2- C’est ce jour-là que Jeanne, l’héroïne,
Comme Jésus, naquit en humble lieu :
Ah ! qu’en ce jour, la colère divine
Soit désarmée !... Enfants, priez bien Dieu.
3- Priez, enfants pour notre chère France ;
Au six janvier, implorez à genoux !
Par Jeanne d’Arc, ayons la délivrance ;
Petits enfants, priez Jeanne pour nous !
1- Puissante Protectrice
Des fragiles humains,
Vierge toujours propice,
Veillez sur nos destins.
Mille sujets d'alarmes
Sont semés sur nos pas ;
Dans ce séjour de larmes
Ne nous délaissez pas. (bis)
2- Satan, la chair, le monde
Conspirent contre nous ;
Que votre bras confonde
Tous leurs efforts jaloux.
Vous êtes notre Mère,
Secourez vos enfants :
En vous leur cœur espère,
Rendez-les triomphants. (bis)
3- Partout à l'innocence
Des pièges sont tendus ;
Prenez notre défense,
Ou nous sommes perdus.
Ah ! sur notre faiblesse
Daignez fixer vos yeux,
Et guidez-nous sans cesse
Pour nous conduire aux cieux. (bis)
Le possédé albigeois et le saint Rosaire (récit de St L-M de Montfort)
La Passion & la Résurrection selon St Matthieu
LE POSSÉDÉ ALBIGEOIS
(St Louis-Marie de Montfort, "Le Secret admirable du Très Saint Rosaire")
1- Saint Dominique prêchant près de Carcassonne le saint Rosaire, un jour de l’an 1215, on lui amena un hérétique albigeois possédé par le démon.
2- Le saint l’exorcisa en présence d’une grande multitude de peuple ; on tient qu’il y avait plus de douze mille hommes à l’entendre.
3- Les démons, qui possédaient ce pauvre misérable, étant obligés de répondre malgré eux aux interrogations que le saint leur faisait, dirent :
4- Premièrement, qu’ils étaient quinze mille dans le corps de ce misérable, parce qu’il avait attaqué les quinze mystères du Rosaire ;
5- Deuxièmement, que, par le Rosaire qu’il prêchait, il mettait la terreur et l’épouvante dans tout l’enfer, et qu’il était l’homme du monde qu’ils haïssaient davantage à cause des âmes qu’il leur enlevait par la dévotion du Rosaire ;
6- Troisièmement, ils lui révélèrent plusieurs autres particularités.
7- Saint Dominique, ayant jeté son Rosaire au cou du possédé, leur demanda qui, de tous les saints du ciel, ils craignaient davantage et devait être plus aimé et honoré des hommes.
8- A cette interrogation, ils firent des cris si épouvantables que la plupart des auditeurs, saisis d’effroi, tombèrent par terre.
9- Ensuite, ces malins esprits, pour ne pas répondre, pleurèrent et se lamentèrent d’une manière si pitoyable, si touchante, que plusieurs des assistants en pleurèrent eux-mêmes, par une pitié naturelle.
10- Ils disaient par la bouche du possédé d’un ton de voix lamentable : « Dominique, Dominique, aie pitié de nous, nous te promettons que nous ne te nuirons jamais. Toi qui as tant de pitié des pécheurs et misérables, aie pitié de nous, misérables. Hélas, nous souffrons tant, pourquoi prends-tu plaisir à augmenter nos peines ? Contente-toi des peines que nous endurons. Miséricorde ! miséricorde ! miséricorde ! »
11- Le saint, sans être touché des paroles tendres de ces esprits malheureux, leur répondit qu’il ne cesserait de les tourmenter jusqu’à ce qu’ils eussent répondu à la question.
12- Les démons lui dirent qu’ils y répondraient, mais en secret et à l’oreille, et non pas devant tout le monde.
13- Le saint insiste et leur commande de parler et répondre tout haut.
14- Les diables ne voulurent plus dire mot, quelque commandement qu’il leur fit.
15- Il se mit à genoux et fit cette prière à la sainte Vierge : « Ô très sainte Vierge Marie, par la vertu du saint Rosaire, ordonnez à ces ennemis du genre humain de répondre à ma question. »
16- Cette prière étant faite, voilà qu’une flamme ardente sortit des oreilles, des narines et de la bouche du possédé, qui fit trembler tout le monde, mais cependant qui ne fit mal à personne.
17- Alors les diables s’écrièrent : « Dominique, nous te prions, par la Passion de Jésus-Christ et par les mérites de sa sainte Mère et de tous les saints, que tu nous permettes de sortir de ce corps sans rien dire ; car les anges, quand tu voudras, te le révèleront. Ne sommes-nous pas des menteurs ? Pourquoi veux-tu nous croire ? Ne nous tourmente pas davantage, aie pitié de nous.
18- « Malheureux que vous êtes, indignes d’être exaucés », dit saint Dominique, qui, se mettant encore à genoux, fit sa prière à la sainte Vierge :
19- « Ô très digne Mère de la Sagesse, je prie pour ce peuple ici présent qui déjà est instruit de la manière de bien dire la Salutation angélique. Forcez vos ennemis à confesser en public la vérité pleine et sincère sur ce point. »
20- Il n’eut pas plus tôt fini sa prière, qu’il vit la sainte Vierge près de lui, entourée d’une grande multitude d’anges, qui, avec une verge d’or qu’elle tenait à la main, frappait le démoniaque en lui disant : « Réponds à mon serviteur Dominique, selon sa demande. »
21- Il faut remarquer que le peuple n’entendait ni ne voyait point la sainte Vierge ; il n’y avait que saint Dominique.
22- Alors les démons commencèrent à s’écrier en disant :
23- « Ô notre ennemie, ô notre ruine, ô notre confusion, pourquoi êtes-vous venue exprès du ciel pour nous tourmenter si fort ? Faut-il que, malgré nous, ô avocate des pécheurs qui les retirez des enfers, ô chemin très assuré du Paradis, nous soyons obligés de dire toute la vérité ? Faut-il que nous confessions devant tout le monde ce qui sera la cause de notre confusion et de notre ruine ? Malheur à nous, malheur à nos princes de ténèbres.
24- « Écoutez donc, chrétiens. Cette Mère de Jésus-Christ est toute-puissante pour empêcher que ses serviteurs ne tombent en enfer ; c’est elle qui, comme un Soleil, dissipe les ténèbres de nos machines et finesses ; c’est elle qui évente nos mines, qui rompt nos pièges et rend toutes nos tentations inutiles et sans effet.
25- « Nous sommes contraints d’avouer qu’aucun de ceux qui persévèrent dans son service n’est damné avec nous.
26- « Un seul de ses soupirs qu’elle offre à la Sainte-Trinité, surpasse toutes les prières, les vœux et les désirs de tous les saints.
27- « Nous la craignons plus que tous les bienheureux ensemble et nous ne pouvons rien contre ses fidèles serviteurs.
28- « Plusieurs chrétiens mêmes qui l’invoquent à la mort, et qui devraient selon nos lois ordinaires être damnés, sont sauvés par son intercession.
29- « Ah ! si cette Mariette (c’est ainsi que leur rage la faisait appeler) ne s’était opposée à nos desseins et à nos efforts, nous aurions depuis longtemps renversé et détruit l’Église et fait tomber tous ses ordres dans l’erreur et l’infidélité.
30- « Nous protestons de plus, par la violence qu’on nous fait, qu’aucun de ceux qui persévèrent à dire le Rosaire n’est damné ; car elle obtient à ses dévots serviteurs une vraie contrition de leurs péchés par laquelle ils en obtiennent le pardon et l’indulgence. »
31- Alors saint Dominique fit réciter le Rosaire à tout le peuple, fort lentement et dévotement, et, à chaque Ave Maria que le saint et le peuple récitaient (chose étonnante), il sortait du corps de ce malheureux une grande multitude de démons, en forme de charbons ardents.
32- Les démons étant tous sortis et l’hérétique tout à fait délivré, la sainte Vierge donna, quoique invisiblement, sa bénédiction à tout le peuple, qui en ressentit une joie très sensible.
33- Ce miracle fut cause qu’un grand nombre d’hérétiques se convertirent et se mirent de la confrérie du saint Rosaire.
Paroles de Saints sur le canon de Pachelbel
Prière de la Médaille Miraculeuse
Ô Vierge Immaculée,
Qui avez voulu tant de fois
Apparaître en notre pays de France
Et lui avez donné votre Médaille miraculeuse,
Nous vous saluons
Et nous vous reconnaissons
Pour notre Reine.
Sous le signe de votre sainte Médaille,
Nous sommes à vous et voulons y rester :
Qu’elle soit toujours
À nos yeux et à nos cœurs
Le gage de votre amour
Et le rappel de nos devoirs envers vous.
Ô Mère de nos âmes,
Aidez-nous à fuir tout péché,
Et à vivre fidèlement dans la grâce de votre Fils !
Ô Mère de toutes les âmes,
Aidez-nous à être apôtres
Et à sauver nos frères
Pour qui Jésus est mort en Croix !
Ô Mère de toutes les grâces,
Donnez à notre pays de France
Les religieux et les prêtres
Dont il a tant besoin !
Reine du Ciel, qui êtes venue au monde sans aucun péché,
Obtenez-nous
De quitter ainsi cette terre
Pour monter vers vous
Dans le beau Royaume de votre Fils.
Ô Marie conçue sans péché,
Priez pour nous qui avons recours à vous.
La puissance du saint Rosaire (St L-M de Montfort)
37 paroles de Saints
« Récitant tous les jours un Rosaire, si vous êtes fidèles à le dire malgré la grandeur de vos péchés, dévotement jusqu'à la mort, croyez-moi, vous recevrez une couronne de gloire qui ne flétrira jamais. Quand vous seriez sur le bord de l'abîme, quand vous auriez déjà un pied dans l'enfer, quand vous auriez vendu votre âme au diable comme un magicien, quand vous seriez un hérétique endurci et obstiné comme un démon, vous vous convertirez tôt où tard et vous sauverez, pourvu que, je le répète, et remarquez les paroles et les termes de mon conseil, vous DISIEZ TOUS LES JOURS LE SAINT ROSAIRE, DÉVOTEMENT JUSQU’À LA MORT, POUR CONNAÎTRE LA VÉRITÉ ET OBTENIR LA CONTRITION ET LE PARDON DE VOS PÉCHÉS. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, "Le Secret admirable du Très Saint Rosaire")
La force du saint Rosaire (aveu des démons à St Dominique)
Récitation du Chapelet avec Méthode & Explication montfortaines
« Nous sommes forcés de déclarer qu’aucuns de ceux qui persévèrent dans la dévotion à Marie et au saint Rosaire ne vont en enfer, parce que la Sainte Vierge obtient aux pécheurs un véritable repentir avant leur mort. »
(Les démons à saint Dominique lors de l'exorcisme du possédé albigeois de Carcassonne, en 1215,
paroles rapportées par saint Alphonse de Liguori)
VOIR le récit intégral par saint Louis-Marie Grignion de Montfort ici : AJPM81
La salutaire promesse attachée au port du Scapulaire de N-D du Mont-Carmel
« Quiconque, dit la Sainte Vierge
à saint Simon Stock le 16 juillet 1251, quiconque mourra revêtu de cet habit
(le saint Scapulaire
de Notre-Dame du Mont-Carmel),
ne souffrira pas les flammes éternelles. »
La Marseillaise des Vendéens (paroles de l'Abbé Lusson)
Les Saints nous parlent
La MARSEILLAISE des VENDÉENS
(par l’Abbé Lusson)
Une des figures les plus originales du martyrologe Vendéen est assurément celle de l’Abbé René-Charles LUSSON, vicaire de Saint Georges de Montaigu au moment de la Révolution, fusillé à Noirmoutier le 3 janvier 1794, en vertu de la Commission Militaire.
Lorsque les Prêtres Vendéens en 1792 durent choisir entre la persécution et l’exil, l’Abbé LUSSON n’hésita pas un seul instant. Il ne voulut pas abandonner ses paroissiens. Il refusa d’accompagner en Espagne son curé, l’Abbé FOUASSON, et demeura à son poste, bien décider à affronter la
haine des persécuteurs. Le jeune prêtre qui connaissait bien son Bocage semblait avoir deviné que l’heure de la lutte était proche.
À partir du mois de mars 1792, date à laquelle un arrêté avait été pris contre lui, et jusqu’à l’époque du soulèvement un an après, il se tint caché dans les environs de Saint Georges de Montaigu pour échapper aux recherches des agents de l’autorité. Lorsque l’insurrection éclata dans le district de Montaigu, et que les paysans, poussés à bout et enfin révoltés, se décidèrent à recourir aux armes, le vicaire de Saint Georges de Montaigu, s’empressa, comme l’Abbé BARBOTIN en Anjou et comme tant d’autres ailleurs de se mettre à la disposition des insurgés et il devint le Prêtre courageux et intrépide.
L’Abbé LUSSON était en même temps poète à ses heures, et il avait trouvé original de composer sur l’air de la fameuse Marseillaise une poésie dont voici les paroles mâtinées de Patois Vendéen :
1- Allons, armées Catholique
Le jour de Gloire est arrivé !
Contre nous de la République
L’étendard sanglant est levé. (bis)
Ontendez-vous dans tchiés campagne
Les cris impurs daux scélérats,
Le venant duchque dans vos bras
Prendre vos feilles et vos femmes.
R./ Aux armes Poitevins, formez vos bataillons !
Marchons, marchons !
Le sang daux Bleux rougira nos seillons.
2- Quoé ! daux infâmes hérétiques
Ferlant la loé dans nos foyers ?
Quoé ! daux muscadins de boutiques
Nous écraseriant sô lûs pieds ? (bis)
Et le Rodrigue abominable
Infâme suppôt dau démaon
S’installerait en la mésaon
De noutre Jésus adorable ?
3- Tremblez pervers, et vous timides
La bourrée daux deux partis,
Tremblez, vous intrigues perdides
Vant enfin recevoir lû prix ! (bis)
Ttot est levé pre ve cambattre :
De Saint Jean de Monts à Beaupréau,
D’Angers à la ville d’Airvault,
Nous gâsne vélant que se battre !
4- Chrétiens, vrais fails de l’Église,
Séparez de vous ennemis !
La faiblesse à la paour soumise
Que voirez en pays conquis (bis)
Mais tchiès citoyens sanguinaires
Mais les adhérents de Camus
Tchiès prêtres jureux et intrus
Cause de totes nos misères.
5- Ô Saint Vierge Marie !
Condis, soutins nous bras vengeurs
Contre ine séquelle ennemie :
Combats avec tes zélateurs ! (bis)
À nous étondards la victoëre
Est premise de tchiau moument
Que le régicide expirant
Voie taon triomphe et noutre gloëre !
Cette Marseillaise Vendéenne connut tout de suite un grand succès parmi les insurgés, et elle contribua même à la victoire des Vendéens du 19 mars 1793 contre l’Armée Républicaine commandé par le Général MARCÉ.
L’Abbé LUSSON continua à exercer bravement son ministère d’aumônier tout au long de l’année 1793. Il se trouvait à Noirmoutier en compagnie de D’ELBÉE lors de la prise de l’île par les Bleus. C’était une victime de choix toute désignée à la fureur de la commission militaire, et les balles des séides du représentant TURREAU en firent un martyr, le 3 janvier 1794.
Autres versions chantées ici :
http://montfortajpm.blogspot.fr/2017/01/les-saints-nous-parlent.html
1241- « Saint François de Borgia craignait avec raison pour la persévérance de ceux qui ne témoignaient pas d’une dévotion spéciale envers la sainte Vierge. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1242- « Le recours fréquent à Marie est un infaillible moyen d’acquérir et de conserver la vie divine en soi. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1243- « Tous ceux-là obtiennent de Dieu la persévérance qui lui en font la demande, et ils l’obtiennent infailliblement s’ils se préoccupent de la demander jusqu’à la fin de leur vie ; en effet, c’est une grâce à demander chaque jour pour l’obtenir chaque jour. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1244- « La grâce efficace est nécessaire pour observer les commandements ; mais nous disons que pour prier actuellement, et par la prière obtenir la grâce efficace, c’est assez d’avoir la grâce suffisante que Dieu accorde à tous les fidèles. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1245- « C’est avec raison que l’Église est appelée la Mère de tous les chrétiens, bien qu’un grand nombre de ses enfants ne le soient que de nom. »
(La glose)
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1246- « Les divins préceptes ne sont impossibles à personne puisque tout homme, avec la seule grâce suffisante, peut exécuter les choses faciles comme de prier qui est la chose la plus aisée, et par le moyen de la prière, se procurer le secours de la grâce efficace gratuite dont il a besoin pour pratiquer actuellement les choses difficiles, c’est-à-dire les commandements. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1247- « Aucun pécheur ne peut alléguer pour excuse son impuissance d’observer les commandements, car s’il n’a pas eu la grâce efficace dont il avait besoin pour les mettre immédiatement en pratique, il a eu du moins la grâce prochaine suffisante pour prier actuellement, moyen par lequel il aurait obtenu de Dieu, selon la promesse que Jésus-Christ a faite d’exaucer quiconque le prie, la grâce efficace avec laquelle il aurait certainement rempli son devoir. C’est proprement ce que le concile de Trente a déclaré contre Luther qui affirmait qu’il est impossible, même aux fidèles, d’accomplir la loi de Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1248- « La conduite la plus sûre est de suivre la foi que professe la Chaire de saint Pierre. »
(Saint Hippolyte)
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1249- « On ne peut excuser de faute grave celui qui ne prie point étant en état de péché ou en danger de mort. »
(Lessius)
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1250- « Il n’y a qu’une seule Église catholique, qui n’est autre chose que l’Église des chrétiens du Christ. »
(Saint Épiphane)
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1251- « Le seigneur, pour nous attirer à lui et pour nous voir souvent à ses pieds afin qu’il puisse par là nous faire plus de bien, diffère jusqu’à notre mort de nous donner la grâce complète du salut. »
(Saint Jean Chrysostome)
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1252- « Comment peut-on vaincre ? Ce ne peut être que par la prière, et par une prière très persévérante. »
(Saint Augustin)
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1253- « Qui n’est qu’à Dieu ne s’attriste jamais, sinon de l’avoir offensé ; et sa tristesse sur cela consiste en une profonde mais tranquille et paisible humilité et soumission, après laquelle il se relève en la bonté divine par une douce et parfaite confiance, sans chagrin ni dépit. »
(Saint François de Sales)
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1254- « L’Église est appelée catholique parce qu’elle est répandue dans le monde entier, d’une extrémité à l’autre. »
(Saint Cyrille de Jérusalem)
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1255- « Personne ne se perd sans le savoir, et personne n’est trompé sans vouloir être trompé. »
(Jésus à sainte Thérèse d’Avila)
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1256- « Celui qui aime Dieu ne doute pas de la foi : celui-là en doute qui ne vit pas conformément à ce que la foi lui enseigne. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1257- « Celui qui aime beaucoup Dieu a beaucoup de confiance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1258- « Jésus-Christ est mort pour sauver tous les hommes : le Fils de Dieu a sacrifié sa vie pour tous les hommes en général et pour chacun d’eux en particulier ; cela est une vérité clairement démontrée. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1259- « Nous croyons de cœur et professons de bouche une seule Église, non celle des hérétiques mais la sainte Église romaine, catholique et apostolique, hors de laquelle nous croyons que personne n’est sauvé. »
(Innocent III) *****************************************************************
1260- « C’est servir Dieu parfaitement
Que de le servir en souffrant. »
(St Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1261- « Jusqu’à quand devons-nous prier ? Toujours ! c’est-à-dire, jusqu’à ce que nous recevions la sentence favorable qui nous assure de notre salut éternel, autrement dit, jusqu’à la mort. »
(Saint Jean Chrysostome)
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1262- « Si la grâce nécessaire pour observer les préceptes ne nous était point donnée, il n’existerait point de péché. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1263- « Si l’on se dit : « Je ne cesserai pas de prier jusqu’à ce que je sois sauvé », il est certain qu’on se sauvera. »
(Saint Jean Chrysostome)
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1264- « Tout ce qui se fait en dehors de l’Église catholique n’est qu’illusion. »
(Saint Cyprien)
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1265- « Le Seigneur nous assure très positivement qu’il ne laisse point de nous aider de sa grâce si nous voulons en profiter, soit pour persévérer dans la justice, soit pour sortir du péché. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1266- « Combien de temps nous faudra-t-il prier ? Aussi longtemps que durera le combat ; et comme nous avons toujours à combattre, nous ne devons jamais cesser de demander à Dieu le secours dont nous avons besoin pour ne pas succomber. »
(Saint Bonaventure)
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1267- « Où est la liberté quand il y a nécessité de pécher ? »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1268- « Si, pouvant recevoir les sacrements de la sainte Église, vous ne le vouliez pas, vous seriez et vous mourriez en état de damnation. »
("Le Dialogue" de sainte Catherine de Sienne)
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1269- « Personne, à moins qu’il ne soit déjà damné, n’invoque mon nom, avec l’intention de quitter le péché, sans que le démon s’enfuit aussitôt. »
(La sainte Vierge à sainte Brigitte)
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1270- « Celui qui se sépare de la véritable Église pour s’attacher à une fausse, n’a plus de part aux promesses de l’Église, ni aux récompenses de Jésus-Christ. »
(Saint Cyprien)
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1271- « Comment peut espérer l’intercession de Marie, celui qui ne la prie point ? »
(Le père Crasset)
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1272- « On ne peut pas avoir Dieu pour Père quand on n’a pas l’Église pour Mère. »
(Saint Cyprien)
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1273- « Tout notre salut consiste dans l’accomplissement de la volonté de Dieu : c’est là le vrai moyen de se sanctifier et de jouir d’une véritable paix que rien ne saurait altérer. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1274- « Nos prières font au Seigneur une pieuse violence qui lui plaît et le contraint à nous accorder les grâces que nous lui demandons. »
(Saint Jean Climaque)
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1275- « Quand une âme prie Dieu pour obtenir quelque grâce, le Seigneur en quelque sorte lui en a de l’obligation et l’en remercie, attendu qu’elle lui fournit ainsi le moyen de contenter le désir qu’il a de nous dispenser ses grâces. »
(Sainte Marie-Madeleine de Pazzi)
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1276- « Mon Sauveur m’a promis qu’il ne laisserait périr aucun de ceux qui lui seront consacrés. »
(Sainte Marguerite-Marie)
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1277- « Quiconque est séparé de l’Église est uni à l’adultère : il est séparé des promesses de l’Église. »
(Saint Cyprien)
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1278- « Quand nous prions, si Dieu ne nous donne pas la grâce demandée, c’est pour nous en donner une autre qu’il sait devoir nous être plus utile. »
(Saint Bernard)
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1279- « La dévotion à Marie est un thermomètre sûr de la ferveur ou du refroidissement, soit dans les paroisses, soit dans les particuliers. »
(Mr Hamon, curé de Saint-Sulpice)
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1280- « C’est avec raison que l’Église est appelée l’héritage de Jésus-Christ, puisque c’est par son Sang Précieux qu’elle a été conquise. »
(Cassiodore)
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1281- « Il est certain que Dieu fait de certaines grâces aux hommes, quoiqu’ils ne le prient pas, comme la foi initiale et la première grâce pour prier, mais aussi qu’il y en a d’autres qu’il n’accorde jamais qu’à la prière, comme est la persévérance finale et la bonne mort. »
(Saint Augustin)
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1282- « Ô Marie, qui vous a jamais invoquée sans en être écouté et secouru ? Qui jamais s’est perdu après avoir eu recours à vous ? Celui-là seul se perd qui vous oublie. »
(Innocent III)
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1283- « La bienheureuse Vierge est tellement grande et sublime que, plus on lui décerne de louanges, plus il en reste à lui décerner. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1284- « Les ornements de l’Église sont l’or des apôtres, l’argent des prophètes, les diamants des vierges, la robe écarlate des martyrs et la pourpre des pénitents. »
(Cassiodore)
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1285- « L’éloge de Marie est une fontaine inépuisable : plus elle s’étend, plus elle se remplit ! Et plus elle se remplit, plus elle s’élargit. »
(L’abbé Francon)
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1286- « Le Scapulaire et le Rosaire sont inséparables. »
(Sœur Lucie de Fatima)
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1287- « La volonté de Dieu redresse toutes les volontés et toutes les choses les plus tortues. C’est pourquoi, la résignation à la mort pour faire la volonté de Dieu suffit seule pour assurer le salut éternel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1288- « Il n’y a pas de vraie fraternité en-dehors de la charité chrétienne ; seule la charité catholique peut conduire les peuples dans la marche du progrès vers l’idéal de la civilisation. »
(Saint Pie X)
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1289- « Dans vos tentations, ne tardez pas à invoquer Jésus et Marie, noms bénis qu’il ne faut jamais séparer. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1290- « L’Église s’accroît sous le glaive de la tribulation, et les coups de la persécution multiplient le peuple de Dieu. »
(Cassiodore)
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1291- « Si tous les hommes voyaient leurs membres changés en autant de langues, ce ne serait pas encore assez pour louer Marie autant qu’elle le mérite. »
(Saint Augustin)
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1292- « Vivez sur la terre comme si la terre n’était pas. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1293- « Entre toutes les vertus, l’amour possède la vertu d’une invincible patience qui est comme sa moelle et qui montre clairement si une âme est en état de grâce et si elle aime véritablement ou non. »
("Le Dialogue" de sainte Catherine)
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1294- « Propager la dévotion envers Marie, c’est contribuer puissamment à notre bien personnel et à celui du peuple chrétien. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1295- « Mettez tout votre appui et toute votre confiance en Jésus et en Marie, et rien ne vous manquera. »
(Lettre de Marie à deux capucins, citée par saint Jean Eudes)
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1296- « Il ne parviendra pas aux récompenses du Christ, celui qui a abandonné l’Église : celui-là ne tient ni la vie ni le salut. »
(Saint Cyprien)
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1297- « Le ciel et la terre savent que chacun de vos protégés, ô Marie, est assuré de ne point se perdre. »
(Saint Bernard)
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1298- « Le dogme le plus ferme de notre religion, c’est que hors de l’Église personne ne peut être sauvé. »
(Pie VIII)
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1299- « Si un vrai serviteur de Marie, par lequel j’entends celui qui veut véritablement s’amender et qui recourt avec confiance à cette avocate des pécheurs, si un tel homme venait à se damner, cela n’arriverait que parce que Marie ne pourrait ou ne voudrait pas le secourir ; or cela ne peut être dit saint Bernard. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1300- « Si les pécheurs recourent à la bienheureuse Vierge avec la volonté de se corriger, elle les sauvera par son intercession. »
(Saint Georges de Nicomédie)
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1301- « Recourons à Marie et c’est assez : notre salut est garanti ! Dès lors, nous avons le bonheur d’être reçus dans la citée de refuge, et Marie priera pour nous sans que nous parlions. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1302- « Là où est Pierre, là est l’Église. »
(Léon XIII)
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1303- « Oh ! quel bonheur de mourir fille de la très sainte Vierge qui ne nous abandonnera jamais si nous nous confions bien en elle ; mais gardons-nous bien de quitter sa sainte protection, car elle nous quitterait aussi, à notre grande perte. »
(Sœur Marie-Agnès sur son lit de mort, tiré de l’Année Sainte de la Visitation)
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1304- « Malheureux qui ne vous aime pas, ô Marie, et qui, pouvant recourir à vous, vous refuse sa confiance ! »
(Saint Bernard)
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1305- « En recourant à Marie, nous ne manquerons jamais d’obtenir tout ce que nous voudrons. Qu’en elle donc il espère, celui qui désespère. »
(Saint Bernard)
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1306- « Le Dieu tout-puissant n’a pas voulu que son Église fût aveugle ; il lui a donné des yeux pour voir, pour connaître le chemin de la vérité, et pour être dans l’impossibilité de se tromper. »
(Saint Bruno)
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1307- « Malheur aux âmes qui ne se laissent point prendre par Marie : leur perte est certaine et la malédiction les attend ; bienheureux au contraire celui qui se confie en la bonté de cette divine Mère. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1308- « Je remercie Dieu de ce qu’il permet que je meurs humilié : c’est un signe qu’il veut me pardonner mes péchés. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1309- « Ceux qui publient les gloires de Marie ont un gage certain du ciel. »
(Saint Bonaventure)
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1310- « Celui qui publie les gloires de Marie fera une bonne mort. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1311- « Le royaume des cieux, le royaume des anges, le royaume des apôtres, c’est la sainte Église, parce qu’elle est fortifiée par les cieux, fermée par les cieux, gouvernée et protégée par les cieux. »
(Saint Bruno)
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1312- « Honorer Marie et acquérir le trésor de la vie éternelle, c’est tout un, parce que cette Reine des anges a un Cœur extrêmement reconnaissant : elle ne peut manquer de rendre en gloire dans le ciel l’honneur que nous lui rendons sur la terre. »
(Richard de Saint-Laurent)
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1313- « Ceux qui me mettent en lumière auront la vie éternelle. »
(Marie, dans la sainte Écriture)
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1314- « Bienheureux celui qui s’attache fortement par l’amour et par la confiance à ces deux ancres de salut, Jésus et Marie : certainement celui-là ne se perdra pas. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1315- « Là où est l’Église, là est l’Esprit de Dieu, Esprit auquel ne participent pas ceux qui n’accourent pas à l’Église mais qui, par leurs doctrines mauvaises et leurs actions détestables s’excluent eux-mêmes de la vie ; et là où est l’Esprit de Dieu, là est l’Église et toute sa grâce. »
(Saint Irénée)
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1316- « Prêcher Marie et la confiance en son intercession, voilà de quoi dépend le salut des âmes. C’est par ce moyen que saint Bernardin de Sienne sanctifia l’Italie et que saint Dominique convertit des provinces entières. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1317- « Saint Louis Bertrand n’omettait jamais dans ses prédications d’exhorter à la dévotion envers Marie ; le père Segneri ne manquait jamais dans chacune de ses missions de faire un sermon sur la dévotion envers Marie. Nous avons pour règle inviolable de ne jamais omettre le sermon sur la sainte Vierge dans nos propres missions ; or nous pouvons attester en toute vérité que, le plus souvent, aucune de nos prédications ne produit autant de fruits de salut et de componction que ce sermon sur la miséricorde de Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1318- « Ô Marie, ceux qui vous aiment jouissent d’une paix profonde en cette vie ; et dans l’autre ils ne verront point la mort éternelle. »
(Saint Bonaventure)
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1319- « Il n’est jamais arrivé, et il n’arrivera jamais qu’un serviteur de Marie se perde. »
(Vénérable Louis de Blois)
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1320- « Celui qui sert Marie est aussi sûr du Paradis que s’il y était déjà. »
(L’abbé Guéric)
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1321- « Quatre choses sont nécessaires à l’Église pour qu’elle ne succombe pas : les commandements, les châtiments, les grâces et les épreuves. »
(Saint Bonaventure)
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1322- « La dévotion à Marie est le signe le plus assuré qu’on est dans la voie du salut. »
(Le père Pelbart)
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1323- « Pourvu que nous soyons de vrais serviteurs de Marie, nous serons certainement du nombre des élus, car nous obtiendrons sa protection. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1324- « Celui qui a la dévotion pour Marie est reconnu de Dieu comme lui appartenant. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1325- « Nous venons maintenant à cette opinion funeste qu’on peut, par une profession de foi quelconque, obtenir le salut éternel de l’âme, pourvu qu’on ait des mœurs conformes à la justice et à la probité ; qu’ils tremblent donc, ceux qui s’imaginent que toute religion conduit par une voie facile au port de la félicité. »
(Grégoire XVI)
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1326- « Ceux qui vivent sous la protection de Marie sont préservés de la damnation. »
(Sainte Marie-Madeleine de Pazzi)
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1327- « Il conserve aussi sa forme, le sarment séparé du cep ; mais que lui sert cette forme s’il ne vit point de la racine ? »
(Saint Augustin)
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1328- « Qu’on trouve un pécheur aussi endurci et dépourvu de confiance qu’on voudra, s’il nomme seulement votre nom, ô Vierge pleine de bonté, telle est la vertu de ce nom que sa dureté s’amollira aussitôt d’une manière merveilleuse, car c’est vous qui élevez les pécheurs à l’espérance du pardon et de la grâce. »
(Bienheureux Raymond Jourdain)
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1329- « Le saint nom de Marie fortifie les pécheurs contre la tentation du désespoir. »
(Ludolphe de Saxe)
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1330- « Nous déclarons avec la plus grande joie et établissons l’illustre Pucelle d’Orléans, admirée et vénérée spécialement par tous les catholiques de France comme l’héroïne de la religion et de la patrie, sainte Jeanne d’Arc, vierge, patronne secondaire de la France. »
(Pie XI, lettre apostolique "Galliam" du 2 mars 1922)
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1331- « Les commandements affermissent l’Église. »
(Saint Bonaventure)
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1332- « Aimons Jésus et Marie et devenons des saints, car il n’est pas de plus belle fortune à réaliser et il n’est rien de meilleur à poursuivre et à espérer. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1333- « Sois dans l’allégresse, ô mon âme, et réjouis-toi en Marie, car immenses sont les biens promis à ceux qui l’auront louée. »
(Saint Bonaventure)
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1334- « Les châtiments éprouvent l’Église. »
(Saint Bonaventure)
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1335- « Combien grande doit être notre confiance en Marie puisqu’elle est Reine de miséricorde. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1336- « Dieu veut que toutes les grâces nous parviennent par les mains de Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1337- « Les grâces décorent l’Église. »
(Saint Bonaventure)
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1338- « Puisque les saintes Écritures ne cessent de nous parler de Marie, nous aussi, célébrons sans cesse de cœur et de bouche cette divine Mère afin que par elle nous arrivions au Royaume du bonheur éternel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1339- « Le sein de Marie ayant été la voie suivie par Jésus-Christ pour sauver les pécheurs, comment le rappel de ses gloires dans les prédications n’amènerait-il pas la conversion et le salut des pécheurs ! »
(Saint Anselme)
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1340- « Les épreuves conservent l’Église. »
(Saint Bonaventure)
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1341- « L’Église est belle par sa foi profonde, plus belle par son espérance, très belle par sa charité. »
(Saint Bonaventure)
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1342- « Quand nous nous voyons tombé, humilions-nous et relevons-nous aussitôt de notre faute par un acte de contrition ; et s’il nous arrive malheureusement encore de tomber, faisons toujours de même ; car se troubler pour une faute commise, c’est la plus grande faute qu’on puisse commettre, puisque dans le trouble, l’âme ne peut plus rien faire de bon. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1343- « Nous admirons l’humilité de Marie ; nous louons sa virginité ; mais notre misère de pauvres pécheurs nous fait trouver plus d’attraits et de douceur à sa miséricorde : plus nous nous y attachons tendrement, plus nous y pensons souvent, et plus fréquemment nous l’invoquons. »
(Saint Bernard)
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1344- « L’Église est belle dans les épouses, plus belle dans les veuves, très belle dans les vierges. »
(Saint Bonaventure)
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1345- « Il y a beaucoup de dévotions pratiquées par les serviteurs de Marie ; mais la plus utile, c’est de se recommander à cette divine Mère. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1346- « La crainte d’être repoussé par Marie quand on a recours à elle, est une insulte à sa miséricorde. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1347- « Il est impossible que Marie étant invoquée par quelqu’un, manque de le secourir. »
(Saint Bonaventure)
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1348- « Plus notre confiance en Marie est grande, plus grande est l’abondance des grâces qu’on obtient. »
(Saint Cyprien)
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1349- « L’Église est belle dans ceux qui commencent, plus belle dans ceux qui avancent, très belle dans ceux qui ont atteint la perfection. »
(Saint Bonaventure)
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1350- « À mesure que grandissent notre confiance et notre ferveur, Marie peut davantage nous prodiguer ses bienfaits et ses consolations maternelles. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1351- « La moindre prière est gracieusement accueillie par Marie et immédiatement exaucée. »
(Vénérable Louis de Blois)
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1352- « L’Église est une caverne de voleurs quand elle devient pour les gens avides un lieu de trafic. »
(Saint Bonaventure)
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1353- « Quand le démon cherche à nous épouvanter en nous mettant devant les yeux combien il nous est difficile de persévérer dans la grâce de Dieu au milieu de tant d’occasions et de dangers que nous rencontrons en cette vie, alors, sans lui répondre, levons les yeux vers Dieu et espérons en sa bonté de laquelle nous viendra certainement le secours dont nous avons besoin pour résister à tous les assauts de l’enfer. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1354- « Dans tous les assauts que vous livre l’ennemi, recourez à Marie, car ceux qui se placent sous sa protection peuvent en toute assurance se promettre la victoire. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1355- « Les démons s’enfuient des âmes qui exhalent la dévotion à Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1356- « C’est un grand honneur et une grande gloire de ne pas résister à l’autorité de l’Église notre Mère. »
(Saint Bernard)
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1357- « Ne crains rien, je régnerai malgré mes ennemis et tous ceux qui s’y voudront opposer. »
(Le Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie)
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1358- « Recourons toujours à Marie, et tenons notre salut pour assuré par son intercession, car jamais elle ne refuse de secourir qui se recommande à elle. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1359- « Celui qui vit séparé de l’Église n’est pas du nombre de ses enfants, et quiconque n’a pas l’Église pour Mère ne peut avoir Dieu pour Père. »
(Saint Augustin)
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1360- « Faites que nous pensions souvent à invoquer votre nom, ô Marie, avec amour et confiance, car c’est là, ou un signe qu’on possède déjà la grâce de Dieu, ou une assurance qu’on doit bientôt la recouvrer. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1361- « Le saint nom de Marie procure chaque jour aux pécheurs leur pardon. »
(Le père Pelbart)
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1362- « Ô Église catholique, vous que l’on peut appeler en toute vérité la Mère des chrétiens, vous avez en vérité des remèdes tout puissants pour guérir tous les maux. »
(Saint Augustin)
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1363- « Le saint nom de Marie suffit pour délivrer de tous les maux. »
(Richard de Saint-Laurent)
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1364- « Les tentations ne servent de couronnes qu’à ceux qui leur résistent. »
(Sainte Jeanne de Chantal)
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1365- « Avec les enfants, l’Église parle le langage de l’enfance. »
(Saint Augustin)
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1366- « Avec la jeunesse, l’Église a un langage plein de force. »
(Saint Augustin)
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1367- « Avec la vieillesse, l’Église a un langage plein de calme. »
(Saint Augustin)
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1368- « L’Église forme et instruit chacun selon ses forces, son âge et sa capacité. »
(Saint Augustin)
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1369- « Rappelez-vous que nous devons chacun être content de la condition dans laquelle nous a placé la Providence ; nous ne devons pas envier ceux qui sont placés au-dessus de nous ; nous ne devons pas envier ceux qui possèdent de très grandes fortunes. De cette façon, nous serons tous satisfaits en observant la loi divine, et nous aurons vraiment un seul cœur et une seule âme. »
(Saint Pie X)
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1370- « Rappelez-vous que nous devons chacun être content de la condition dans laquelle nous a placé la Providence. »
(Saint Pie X)
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1371- « Nous ne devons pas envier ceux qui sont placés au-dessus de nous. »
(Saint Pie X)
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1372- « Nous ne devons pas envier ceux qui possèdent de très grandes fortunes. »
(Saint Pie X)
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1373- « Nous serons tous satisfaits si nous observons la loi divine. »
(Saint Pie X)
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1374- « Nous serons tous satisfaits si nous avons un seul cœur et une seule âme. »
(Saint Pie X)
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1375- « Aux épouses, l’Église dit d’être saintement et fidèlement soumises à leurs maris, non pour satisfaire leur passion, mais pour avoir des enfants et pour le bon ordre de la maison. »
(Saint Augustin)
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1376- « Aux époux, l’Église donne l’autorité sur leurs épouses, non pour abuser de la faiblesse de leur sexe, mais pour leur témoigner un amour sincère. »
(Saint Augustin)
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1377- « L’affaire du salut éternel est pour nous la plus importante de toutes les affaires. C’est pourquoi saint Philippe de Néri traitait de fou celui qui ne s’applique pas à sauver son âme. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1378- « L’entière conversion et la persévérance finale s’obtiennent infailliblement par la prière. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1379- « Si quelqu’un se sépare de l’obéissance due au Pape, il est sans aucun doute en état de damnation, à moins qu’il ne change avant de mourir. »
("Le Dialogue" de sainte Catherine de Sienne)
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1380- « Ô Marie, quand on n’a plus d’espoir, on doit encore espérer en vous. »
(Saint Bernard)
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1381- « Aux enfants, l’Église prescrit à l’égard de leurs parents une soumission mêlée d’une certaine liberté, et aux parents, une autorité pleine de tendresse sur leurs enfants. »
(Saint Augustin)
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1382- « Toute œuvre faite pour Dieu est un acte d’amour divin. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1383- « Ceux qui n’oublient pas de prononcer le nom de Marie à l’article de la mort n’ont rien à craindre, eussent-ils contre eux l’enfer tout entier, car les démons abandonnent une âme sur-le-champs dès qu’ils entendent prononcer le nom de Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1384- « L’Église unit le frère au frère par le lien de la religion, plus fort et plus étroit que celui du sang. »
(Saint Augustin)
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1385- « Il est impossible que celui-là se perde qui cultive avec zèle et humilité la dévotion à Marie. »
(Vénérable Louis de Blois)
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1386- « Marie a coopéré par sa charité à la naissance spirituelle de tous les membres de l’Église. »
(Saint Augustin)
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1387- « L’Église resserre par une charité mutuelle tous les membres que le sang ou l’alliance a unis, en respectant les liens que la nature et la volonté peuvent avoir formés. »
(Saint Augustin)
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1388- « En fait d’amour de Dieu, la souffrance est un signe plus sûr que l’action. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1389- « Le signe le plus certain et le plus incontestable du véritable amour de Dieu, c’est la patience. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1390- « Un jour, le Seigneur permit à sainte Brigitte de l’entendre dire à sa sainte Mère que quiconque invoquerait le nom de Marie avec confiance et avec le propos de s’amender, recevrait trois grâces signalées, savoir, un parfait repentir de ses péchés, les moyens de satisfaire à la justice divine, et la force de parvenir à la perfection pour aller au ciel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1391- « Les saints, pleins de compassion pour les autres pécheurs, ont toujours recommandé de fuir les hérétiques qui sont d’autant plus pernicieux qu’ils le paraissent moins et viennent à nous sous la peau d’une brebis par des apparences de piété, tandis qu’ils sont des loups ravissants par leur orgueil et le poison de leur détestable doctrine. »
(Le R.P. Marin)
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1392- « La sainte Vierge promet le Paradis à celui qui a soin de la faire connaître et aimer : heureux celui que se tient à ses portes par ses prières. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1393- « Marie promet à ceux qui la servent et l’honorent l’exemption du péché et le salut éternel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1394- « Saint Théodore craignait plus les hérétiques que les dragons. »
(Le R.P. Marin)
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1395- « Bernardin de Bustis appelle Marie le Livre de vie et assure que celui qui a mérité par sa dévotion d’être inscrit dans ce livre se sauvera certainement. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1396- « Il faut que nous fassions continuellement violence à Dieu ; cette violence que nous lui faisons par nos prières, loin de lui déplaire, lui est chère et agréable. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1397- « Les anciens Pères, conférant entre eux pour trouver l’exercice le plus utile au salut éternel, conclure que le meilleur est de prier sans cesse. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1398- « Si vous êtes lié d’amitié avec quelqu’un et qu’il ait le malheur de tomber dans un crime contre la pureté, ne l’abandonnez pas et tendez-lui la main charitablement pour l’aider à se relever de sa chute ; mais s’il tombe dans l’hérésie et qu’après l’avoir exhorté à quitter son erreur vous voyez qu’il s’obstine à la soutenir, séparez-vous-en, de peur qu’il ne vous entraîne avec lui dans l’abîme. »
(Saint Théodore de Fermé)
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1399- « Qui jamais a invoqué le secours de Dieu sans que le Seigneur ait daigné l’écouter ? »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1400- « Non seulement Dieu ne fait pas attendre, mais il accorde avec abondance en donnant plus qu’on ne lui demande. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1401- « La dévotion envers la Sainte Vierge précède le soleil de la grâce. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1402- « L’Église apprend aux serviteurs à s’attacher à leurs maîtres, non pas tant par la nécessité de leur position que par un service affectueux. »
(Saint Augustin)
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1403- « Certainement celui-là ne se perdra pas qui s’attache fortement à
Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1404- « On doit se conformer à la Volonté divine, non seulement dans la prospérité mais encore dans l’adversité et même dans les tribulations qu’on éprouve de la part des hommes quand on est persécuté, car tout vient de Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1405- « L’Église porte les maîtres, par égard pour le Dieu tout-puissant qui commande à tous les hommes, à se montrer doux envers leurs serviteurs, et à être à leur égard plutôt indulgents que sévères. »
(Saint Augustin)
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1406- « Un effort minime, un simple Ave Maria, suffit pour nous assurer les plus larges épanchements de la bonté maternelle de Marie. »
(Richard de Saint-Laurent)
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1407- « Tous ceux qui demandent des grâces par l’intercession de Marie les obtiennent infailliblement. »
(Sainte Mechtilde)
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1408- « Voici le secret d’être toujours vainqueur dans les combats contre l’enfer : recourir à Marie qui accepte pour ses enfants tous ceux qui le veulent. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1409- « L’Église rappelle notre commune origine, et dès lors ce n’est pas seulement une société mais une véritable fraternité qu’elle établit entre les hommes, entre les citoyens et entre les peuples. »
(Saint Augustin)
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1410- « Quelle belle espérance du salut ont ceux qui récitent chaque jour le Rosaire avec piété et persévérance ! »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1411- « La récitation du Rosaire est utile pour obtenir la protection de Marie au moment de la mort. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1412- « Comme c’est proprement sur le Calvaire que Jésus-Christ a formé son Église, il est clair que la Sainte Vierge a coopéré d’une manière excellente et singulière à cette formation. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1413- « L’Église a soin de nous apprendre à qui nous devons l’honneur, l’amour, le respect , la crainte, la consolation, l’admonition, les exhortations, la correction, la réprimande et le châtiment. »
(Saint Augustin)
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1414- « Malheureux celui qui, tandis qu’il le peut, ne recourt pas à moi. »
(La Sainte Vierge à sainte Brigitte)
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1415- « La plénitude de la grâce est en Jésus-Christ comme dans la tête d’où elle découle et en Marie comme dans le cou qui la transmet aux membres. »
(Un ancien Père)
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1416- « L’Église nous montre comment il faut se conduire différemment suivant les diverses personnes, être plein de charité pour tous, ne faire tort à personne. »
(Saint Augustin)
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1417- « Nous ne nous sauverons qu’à la condition de persévérer à prier avec confiance jusqu’à la mort ; avec cet esprit de prière, nous obtiendrons infailliblement du Seigneur la sainte persévérance et toutes les autres faveurs. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1418- « Quand l’Église, après avoir pris des moyens salutaires, voit quelques uns de ses enfants égarés revenir à elle, comme une tendre mère, elle les embrasse avec bonheur, et elle se réjouit plus de ceux qu’elle a retrouvés que de ceux qu’elle n’a jamais perdus. »
(Saint Augustin)
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1419- « Si le Fils qu’elle a mis au monde est Roi, la Vierge sa Mère doit en toute rigueur de vérité être tenue pour Reine et Souveraine et en porter le nom. »
(Saint Athanase)
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1420- « La résignation à la Volonté divine est une vertu dans laquelle consiste tout l’amour divin ; c’est pourquoi, la résignation à la mort pour faire la Volonté de Dieu suffit seule pour assurer le salut éternel, car quand on meut entièrement résigné à la divine Volonté, on meut saintement. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1421- « Que celui qui veut posséder le Saint-Esprit se garde bien de rester séparé de l’Église ; qu’il se garde d’y entrer d’une manière hypocrite, et s’il est entré ainsi, qu’il se garde bien de persévérer dans cette hypocrisie, afin que l’arbre de vie prenne véritablement racine. »
(Saint Augustin)
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1422- « Je tiendrai toujours le parti de la Providence divine : elle fait tout bien et dispose de toute chose au mieux ; c’est pourquoi il ne faut pas craindre la crainte. »
(Saint François de Sales)
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1423- « Personne ne reçoit les grâces du Seigneur sans souffrir. »
(Marie à sainte Véronique de Binasco)
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1424- « La dévotion à Marie est un signe très certain qu’on parviendra au salut éternel, car en invoquant Marie, vous ne connaîtrez pas la désespérance. »
(Saint Bernard)
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1425- « L’Église sans tache et sans ride, formée par la réunion de tous les peuples, et devant à jamais régner avec Jésus-Christ, c’est la terre des saints, la terre des vivants. »
(Saint Augustin)
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1426- « Celui-là sait bien vivre qui sait bien prier. »
(Saint Augustin)
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1427- « Lorsqu’on invoque avec confiance cette Mère de miséricorde qu’est Marie, on en obtient tout ce qu’on veut. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1428- « Ce n’est que dans l’Église catholique que l’on reçoit avec fruit le baptême, que l’on fait de bonnes œuvres et que l’on confesse glorieusement le nom du Christ, pourvu toutefois que l’on vive en bon chrétien. »
(Saint Augustin)
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1429- « Le consentement de Marie lui valut le sceptre du monde. »
(Saint Bernardin de Sienne)
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1430- « Le Scapulaire et le Rosaire de Marie, dévotions si respectables, m’ont été chères dès mon enfance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1431- « Dans le Cœur de Marie se trouvent toutes les perfections des anges et des hommes dans un tel degré d’excellence que rien n’y peut être comparé. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1432- « Dans le Cœur de Marie se trouvent les perfections de Dieu-même, aussi fidèlement retracées qu’elles peuvent l’être dans une simple créature. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1433- « L’Église catholique, répandue dans l’univers entier, déjoue par la foi les questions insidieuses des hérétiques, les discute avec soin et les résout avec intelligence. »
(Saint Augustin)
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1434- « C’est surtout l’Église catholique qui doit avoir des entrailles de miséricorde comme une mère, afin de ne pas traiter avec orgueil ses enfants coupables et de pardonner facilement à ceux qu’elle a ramenés. »
(Saint Augustin)
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1435- « Quand le coupable croit avoir raison, la punition ne sert qu’à le rendre pire. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1436- « La fidélité à réciter chaque jour le chapelet constitue un signe éminent de prédestination. »
(Bienheureux Alain de la Roche)
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1437- « Sainte Gertrude rapporte que Jésus dit un jour à sa Mère : « Dans ma toute-puissance, je vous ai accordé le pardon de tous les pécheurs qui implorent pieusement le secours de votre bonté ; il leur sera fait miséricorde de telle manière que bon vous semblera. » »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1438- « La charité chrétienne ne peut s’observer que dans l’unité de l’Église. »
(Saint Augustin)
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1439- « Ne cessons jamais de prier Jésus-Christ et sa très sainte Mère pour obtenir la sainte persévérance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1440- « Même les pécheurs qui ont été les plus dissolus, quand ils se repentent sincèrement de leurs péchés et qu’ils s’humilient devant Dieu en se reconnaissant indignes de recevoir aucune grâce, le Seigneur ne sait pas les mépriser. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1441- « Semblable à un lys, l’Église se montre parmi les épines avec un mélange de bons et de méchants. »
(Saint Augustin)
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1442- « Marie ne peut repousser aucun pécheur qui la prie, aussi horrible que soit l’infection qu’exhalent ses péchés. »
(Richard de Saint-Laurent)
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1443- « Qui porte le Scapulaire fait profession d’appartenir à Notre-Dame. »
(Pie XII)
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1444- « L’Église catholique doit pardonner volontiers aux enfants qu’elle a ramenés et confirmés dans la foi. »
(Saint Augustin)
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1445- « La chair de Jésus et celle de Marie sont une seule et même chair ; c’est pourquoi la gloire royale du Fils et celle de la Mère sont une seule et même gloire.»
(Arnaud de Chartres)
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1446- « Quelques-uns trouvent mauvais que je n’aie imposé à un tel qu’une légère pénitence ; mais moi j’estime qu’il a fait de lui-même la pénitence suffisante en reconnaissant ses torts. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1447- « Le travail d’une année, quoique très excellent, ne vaut pas la journée d’un malade content. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1448- « Celui qui honore souvent la Sainte Vierge par la récitation de l’Ave Maria ou qui est fidèle à réciter chaque jour le saint Rosaire, porte une très grande marque de prédestination. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1449- « Qu’on prenne pour compagne en tout temps, en tout lieu, soit qu’on perde ou qu’on gagne, la Volonté de Dieu. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1450- « L’Église est une Mère spirituelle ; elle est l’Épouse de Jésus-Christ, parée de sa grâce et dotée de son Sang Précieux. »
(Saint Augustin)
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1451- « La souffrance est nommée divine Volonté dès lors qu’elle est aimée et prise avec gaîté. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1452- « L’Église est la Mère de tous les croyants ; elle arrache ses enfants à la mort pour les mettre dans la voie du salut. »
(Saint Augustin)
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1453- « L’homme bien sage embrasse à chaque heure sa croix : Dieu lui donne une grâce proportionnée au poids. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1454- « Pour être sauvé, il suffit d’invoquer Marie, car elle est le salut de ceux qui l’invoquent. »
(Saint Bonaventure)
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1455- « Si vous voulez être sauvé, si le salut vous touche, ayez le Pater et l’Ave très souvent dans la bouche. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1456- « L’Église catholique est le siège de la Vérité. »
(Saint Antoine, abbé)
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1457- « Dans tous les assauts que vous livre l’enfer, recourez à Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1458- « Récitez votre chapelet et même le Rosaire : ô belle oraison d’un parfait ! ô divine prière ! »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1459- « Les serviteurs de Marie, fidèles à demander son secours, n’ont rien à craindre des assauts des démons. »
(Sainte Brigitte)
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1460- « Il faut se rendre à l’église avec humilité et dévotion ; qu’on n’y tienne ni parlement, ni jugement , ni conversation, mais que l’on y écoute et médite attentivement la parole sainte. »
(Saint Antonin)
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1461- « Le Rosaire est admirable, il donne à tous du secours, il guérit l’âme incurable : disons-le donc tous les jours ! »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1462- « Rien n’est efficace comme l’invocation de Marie pour vaincre toutes les tentations, et particulièrement celles d’impureté. »
(Cornelius a Lapide)
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1463- « Qu’on entre avec respect et dévotion dans les églises ; qu’on y garde une tenue modeste, agréable à Dieu, propre à inspirer le recueillement aux assistants, à les édifier et à les charmer. »
(Saint Antonin)
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1464- « C’est à mon invincible espérance en Marie que je devrai mon salut. Si j’espère en vous, ô ma Mère, je ne succomberai pas. »
(Saint Jean Damascène)
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1465- « À la bonne heure, exaltez et dites mon Rosaire : prenez ma chaîne et portez l’habit du Scapulaire. Mais n’ayez point d’autre fin que d’imiter ma vie, autrement c’est un piège malin, c’est une hypocrisie. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort faisant parler Marie)
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1466- « Nul ne se confie en Dieu qui ne retire les fruits de sa confiance. »
(Saint François de Sales)
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1467- « Celui qui néglige de servir Marie mourra dans son péché. Ô Notre-Dame, celui qui ne vous invoque pas pendant sa vie ne parviendra jamais au Royaume céleste. »
(Saint Bonaventure)
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1468- « Il y a deux classes d’hommes opposés à l’Église. La première comprend des catholiques qui la respectent et qui l’aiment, mais critiquent ce qui émane d’elle : ils voudraient réformer tous les canons ; ils trouvent à redire à tout, à corriger en tout. S’ils ne reviennent promptement sur leurs pas, ils glisseront sur cette pente jusqu’à l’abîme où est déjà tombée la seconde classe de nos adversaires qui se compose de tous ceux qui veulent atteindre la vérité et la justice avec la seule ressource de leur raison ; ils espèrent toujours trouver et nous annoncer une air nouvelle, oubliant celui qui a dit : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie. » »
(Pie IX)
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1469- « Je dis par jour un Rosaire ou du moins un chapelet : la pratique est volontaire, mais c’est un secret parfait qui rend notre vie heureuse et notre mort précieuse. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1470- « Marie est ma plus grande assurance : elle est tout le fondement de mon espérance. »
(Saint Bernard)
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1471- « Qu’on me prie seulement de vouloir, parce que si je veux, il faut que la chose se fasse. »
(Saint Albert le Grand faisant parler la Sainte Vierge)
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1472- « Je dis et prêche le Rosaire, voilà mon choix, et je ne sais qu’au Calvaire Jésus en Croix ; si l’un trouve sur le Calvaire son élément, l’autre le trouve en son Rosaire également. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1473- « Afin que la pensée de la sentence que Dieu devra rendre un jour ne nous jette pas dans le désespoir, il nous donne pour avocate sa propre Mère. »
(Saint Bernard)
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1474- « Ô Notre-Dame, ceux-là vous offensent, non seulement qui vous insultent et vous blasphèment, mais encore qui ne vous demandent rien. Oui, Marie se tient pour offensée quand on ne lui demande aucune grâce. »
(Saint Bonaventure)
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1475- « Tous les infidèles, les hérétiques, les sectaires et les hommes dépravés épars sur la surface du globe se coaliseront avec l’Antéchrist pour faire la guerre aux saints et persécuter les hommes fidèles à Dieu. »
(Saint Augustin)
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1476- « Marie possède à bon droit le Royaume de son Fils : Jésus étant Roi de l’univers, c’est de l’univers aussi que Marie est la Reine. »
(L’abbé Rupert)
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1477- « Autant il y a de créatures au service de Dieu, autant Marie en compte à son service. »
(Saint Bernardin de Sienne)
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1478- « Je veux que les dévots de mon Rosaire aient la grâce et la bénédiction de mon Fils pendant leur vie, à leur mort et après leur mort, et qu’ils soient affranchis de toutes sortes d’esclavages et qu’ils soient des rois, qu’ils aient la couronne sur la tête, le sceptre à la main et la gloire éternelle. »
(La Sainte Vierge au bienheureux Alain de la Roche)
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1479- « Marie est plus sainte que les Prophètes, que les Apôtres, que les Anges-mêmes, plus sainte que les Séraphins et les Chérubins. »
(Saint Jean Chrysostome)
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1480- « L’Église qui ne peut se tromper, la foi qui ne peut faillir, c’est l’Église romaine, c’est la foi de l’Église romaine. »
(Saint Antonin)
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1481- « Il y a une différence entre périr et n’être point bienheureux, car la béatitude éternelle étant un don tout gratuit, la privation de cette faveur n’a point le caractère d’une peine. Ainsi, les enfants qui meurent avant l’usage de raison sans avoir reçu le baptême ne sont sujets ni à la peine du sens ni à celle du
dam. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1482- « Notre persévérance jusqu’à la mort dépend, non d’un seul secours mais de mille secours que, durant toute notre vie, nous espérons obtenir de Dieu pour nous conserver dans sa grâce. Or à cette chaîne de secours divins, il faut que corresponde une autre chaîne, celle de nos prières sans lesquelles ordinairement le Seigneur ne donne pas ses grâces ; si nous rompons cette chaîne de prières en cessant de prier, la chaîne des secours divins se rompra aussi, et nous perdrons la persévérance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1483- « Dieu voulant d’une volonté antécédente le salut de tous les hommes, a donné les moyens universels pour qu’ils soient tous sauvés ; mais ces moyens n’ont pas toujours leur effet, soit à cause de la volonté de ceux qui refusent de les employer, soit parce que d’autres ne peuvent pas en profiter par suite des causes secondes, telles que la mort naturelle des enfants, cause dont Dieu n’est pas tenu d’arrêter le court, ayant disposé toute chose selon les justes desseins de sa Providence générale. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1484- « Jésus-Christ a offert ses mérites pour tous les hommes, et c’est pour tous les hommes qu’il a institué le sacrement de baptême. L’application de ce divin remède aux enfants qui meurent avant l’usage de raison n’est point empêchée par une volonté directe de Dieu mais par une volonté purement permissive. Ordonnateur suprême de tout l’univers, Dieu ne doit point troubler l’ordre général pour pourvoir à des cas particuliers. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1485- « L’Église est comme l’image de la justice, le droit commun de tous. »
(Saint Ambroise)
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1486- « L’Église prie en commun, agit et souffre en commun. »
(Saint Ambroise)
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1487- « Il peut se faire que par la miséricorde infinie de Dieu, la prière du pécheur soit exaucée, même sans le propos efficace et durable de changer de vie, pourvu qu’il ne soit pas tellement obstiné qu’il ait rejeté pour toujours toute idée d’amendement. »
(Benoît XIV)
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1488- « Combien d’âmes ont dû, en des circonstances humainement désespérées, leur suprême conservation et leur salut éternel au Scapulaire dont ils étaient revêtus, habit qui est un témoignage de la consécration au très saint Cœur de la Vierge Immaculée. »
(Pie XII, en 1950)
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1489- « La sainte Église, pure de tout contact illicite et cependant féconde, est vierge par la chasteté et mère par l’enfantement. »
(Saint Ambroise)
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1490- « Les enfants qui meurent avant l’usage de raison sans avoir reçu le baptême, ne sont sujets ni à la peine du sens ni à celle du dam. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1491- « La peine du sens répond à l’acte coupable de celui qui quitte Dieu pour la créature. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1492- « La sainte Église est vierge par les sacrements, elle mère pour les peuples, elle est fiancée à l’Époux éternel. »
(Saint Ambroise)
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1493- « Dans le péché originel, il n’y a point d’acte ou de faute propre qui mérite la peine du sens. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1494- « Il est vrai que les enfants morts sans le baptême ne jouissent pas de la gloire ; mais l’on n’est pas affligé de la privation d’un bien dont on n’est pas capable. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1495- « L’Église n’a pour elle que la foi, car les biens qu’elle possède sont pour secourir les pauvres. »
(Saint Ambroise)
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1496- « Comme un homme ne souffre pas de ce qu’il ne peut voler dans les airs, de même les enfants morts sans le baptême ne souffrent pas de ce qu’ils sont privés de la gloire. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1497- « Pour obtenir les grâces de Dieu, la confiance est nécessaire. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1498- « En songeant aux tourments qui seront le partage des chrétiens au temps de l’Antéchrist, je sens mon cœur tressaillir et je voudrais que ces tourments me soient réservés. »
(Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus)
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1499- « La douce confiance en Marie fait recouvrer l’amitié de Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1500- « Quel dépit pour le démon de voir une âme persévérer dans la dévotion à Marie ! »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1501 :
a- « Quand vous verrez la perversité du dogme dans la société ecclésiastique et qu’on s’y honorera comme Dieu, vous saurez que c’est le temps. »
(Saint Jérôme)
b- « Nier l'avènement future et personnel d'Élie, c'est une hérésie ou une erreur qui approche de l'hérésie. »
(Saint Robert Bellarmin)
c- « Après la persécution de l’Antéchrist, ce ne sera pas encore la consommation finale, mais le triomphe de l’Église où tous les hommes devenus les adorateurs d’un même Dieu professeront la même foi catholique. »
(L’abbé Arminjon)
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1502- « Comme une personne n’est point privée de ce qu’elle n’exerce point l’autorité souveraine, de même les enfants morts sans le baptême ne souffrent pas de ce qu’ils sont privés de la gloire, bien dont ils n’ont jamais été capables puisqu’ils n’ont jamais pu y prétendre, ni par leur nature, ni par leur propre mérite. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1503- « Votre miséricorde, ô Marie, a bien plus de force pour obtenir mon pardon que mes iniquités pour entraîner ma condamnation. »
(Guillaume de Paris)
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1504- « La connaissance surnaturelle de la gloire ne s’acquiert qu’au moyen de la foi actuelle qui surpasse toute connaissance naturelle. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1505- « Les enfants morts sans baptême ne peuvent ressentir aucune peine de la privation de la gloire, n’en ayant jamais eu aucune connaissance surnaturelle. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1506- « Oh ! le beau signe de prédestination que la dévotion à Marie ! »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1507- « Ces innocentes créatures que sont les enfants morts sans le baptême avant l’usage de raison, non seulement ne seront point affligées d’être privées de la béatitude éternelle, mais elles auront la jouissance de leur bien naturel et jouiront même en quelque sorte de Dieu, autant que le permettent la connaissance et l’amour naturels : quoique séparées de Dieu quant à la jouissance de sa gloire, elles lui seront néanmoins unies par la participation aux bien naturels. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1508- « L’intention est l’âme de l’action ; selon que notre intention est bonne ou mauvaise, nos œuvres sont également bonnes ou mauvaises. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1509- « Celui qui a recours à Marie, ne fût-ce qu’en prononçant son nom avec confiance, sera certainement délivré du vice impur ; heureux donc qui embrasse la dévotion à cette divine Mère et qui la conserve ! »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1510- « Tous ceux qui espèrent en Marie verront la porte du ciel s’ouvrir devant eux. »
(Saint Bonaventure)
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1511- « Acquiesçons aux décrets de la Providence souveraine, décrets qui sont toujours justes, toujours saints, toujours adorables bien qu’impénétrables et obscurs à notre connaissance. »
(Saint François de Sales)
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1512- « Heureux celui pour qui prie Marie ! Prions donc toujours cette divine Mère si nous voulons assurer notre salut éternel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1513- « J’oublierai tes iniquités si tu oublies tes intérêts, les remettant entre mes mains, aussi bien que ton temps et ton éternité. »
(Jésus à la Sœur Françoise-Angélique, "Année Sainte de la Visitation")
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1514- « C’est en vain que nous prierions Marie si elle ne priait point pour nous. »
(Le R.P. Jean Crasset)
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1515- « Ô ma Souveraine, il suffit que vous vouliez nous sauver pour que nous ne puissions pas manquer notre salut. »
(Saint Anselme)
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1516- « Malheureux scrupule, adieu ! J’obéis et j’aime Dieu. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1517- « J’aimerais mieux aller à la charrue pour conduire des bœufs, que de conduire une femme têtue. »
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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1518- « Ô Marie, de quelles louanges ne vous faut-il pas combler ! »
(Saint Taraise)
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1519- « La pureté d’intention consiste à faire tout ce qu’on fait uniquement pour plaire à Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1520- « Toute action faite pour plaire à Dieu, quelque peu de valeur qu’elle ait en elle-même, vaut beaucoup plus que bien des œuvres importantes accomplies sans une intention assez pure. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1521- « Les œuvres les plus saintes en elles-mêmes, si on ne les fait pas pour Dieu, sont toutes perdues et il n’en reste rien. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1522- « La pureté d’intention rend précieuses les actions les plus communes, comme de manger, travailler, et même se récréer, quand on fait ces choses pour plaire à Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1523- « Dans toutes nos actions, nous ne devons avoir d’autre but que de plaire à Dieu et non à nos parents ni à nos amis ni à nous-mêmes. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1524- « Tout ce que nous ne faisons pas pour Dieu est perdu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1525- « Toute œuvre faite pour Dieu est un acte d’amour divin. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1526- « L’un des meilleurs signes auxquels on peut reconnaître si l’on agit avec une intention pure, c’est de n’éprouver aucun trouble quand on n’obtient pas le succès désiré et de n’être pas moins content et tranquille lorsqu’après avoir fait quelque bien, on est critiqué ou payé d’ingratitude. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1527- « Le Christ ne viendra qu’après la chute du siège romain et l’apparition de l’Antéchrist qui mettra les saints à mort. »
(Saint Ambroise)
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1528- « Plus on est saint, plus on aime Marie. »
(Mr Hamon, curé de Saint-Sulpice, dans "Notre-Dame de France")
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1529- « Les confréries ont été remplacées, dans les classes élevées par la franc-maçonnerie, et dans la basse classe par le compagnonnage. Les confréries étaient des écoles de religion et de vertu, d’ordre et de paix ; la franc-maçonnerie et le compagnonnage sont des sociétés secrètes, hostiles à la religion catholiques qu’elles voudraient voir disparaître. »
(Mr Hamon, curé de Saint-Sulpice, dans "Notre-Dame de France")
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1530- « Un serviteur de Marie, fidèle à l’honorer et à se recommander à elle avec le désir de s’amender, ne peut se damner. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1531- « Ô Vierge bénie, comme il est impossible que celui-là se sauve qui se tient loin de vous, ainsi est-il impossible qu’il se perde, celui qui recourt à vous. »
(Saint Anselme)
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1532- « Un Ave Maria bien récité vaut mieux que toute la science du monde. »
(Bienheureux Jean-Gabriel Perboyre)
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1533- « Notre avancement spirituel se fait moins par la multiplication des actes que par la ferveur avec laquelle nous nous en acquittons. »
(L’abbé Millot, "Trésor d’histoires sur la Sainte Vierge")
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1534- « Pape signifie père des pères ; on l’appelle universel parce qu’il commande à toute l’Église. »
(Hugues de Saint-Victor)
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1535- « Il est certain, selon un ancien adage, que « le royaume de France » a été appelé le « royaume de Marie », et cela à juste titre. »
(Pie XI, lettre apostolique "Galliam" du 2 mars 1922)
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1536- « Pape signifie père des pères ; on l’appelle apostolique parce qu’il remplit les fonctions du Chef des apôtres. »
(Hugues de Saint-Victor)
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1537- « Si je vous abandonnais, ô Marie, je me damnerais. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1538- « Pape signifie père des pères ; on l’appelle Souverain Pontife parce qu’il est le chef de tous les évêques »
(Hugues de Saint-Victor)
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1539- « De même que tout ce qui se rapporte au culte divin l’emporte sur toutes les choses temporelles, de même la dignité de Pape l’emporte sur toutes les autres dignités. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1540- « Les chrétiens sont conduits au Ciel par Marie. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1541- « Si pécheur qu’il ait été, le serviteur de Marie ne périra jamais éternellement. »
(Saint Hilaire)
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1542- « Le Rosaire est le livre de l’aveugle »
(Le chanoine Millot, "Trésor d’histoires sur la Sainte Vierge")
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1543- « Celui qui résiste au Saint-Siège résiste à l’ordre que Dieu a établi. »
(Saint Bernard)
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1544- « Le démon se donne beaucoup de peine afin que les pécheurs, après avoir perdu la grâce de Dieu, perdent encore la dévotion envers la Sainte Vierge. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1545- « Marie est le paradis de Dieu, le palais très pur, immaculé, construit dans la sainteté parfaite du Souverain-Roi. »
(Saint Germain de Constantinople)
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1546- « Le Souverain Pontife est Prince des évêques. »
(Saint Bernard)
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1547- « Le Souverain Pontife est héritier des Apôtres. »
(Saint Bernard)
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1548- « Que ceux-là tremblent qui font peu de cas de la dévotion à Marie ou qui l’abandonnent. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1549- « Une dévotion languissante envers Marie est un signe manifeste de réprobation. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1550- « Le Souverain Pontife est premier comme Abel. »
(Saint Bernard)
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1551- « Le souvenir de votre nom, ô Marie, console les affligés, remet les égarés sur le chemin du salut et empêche les pécheurs de s’abandonner au désespoir. »
(Ludolphe le Chartreux)
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1552- « La bienheureuse Vierge a révélé à sainte Brigitte que, par le mérite de son obéissance, elle a obtenu du Seigneur que le pardon serait accordé à tous les pécheurs qui recourent à elle avec des sentiments de repentir, si lourdement chargés soient-ils. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1553- « Le Souverain Pontife est chef comme Noé. »
(Saint Bernard)
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1554- « Il n’est pas sur le terre de pécheur tellement froid dans l’amour de Dieu, qu’en invoquant mon nom avec la bonne volonté de se convertir il ne force le démon à s’éloigner aussitôt de lui. »
(La Sainte Vierge à sainte Brigitte)
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1555- « Le Souverain Pontife est patriarche comme Abraham. »
(Saint Bernard)
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1556- « Le Souverain Pontife est prêtre comme Melchisédech. »
(Saint Bernard)
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1557- « Nous sommes certainement inscrits au Livre de vie si nous sommes de vrais serviteurs de Marie et si nous obtenons ainsi sa protection. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1558- « Celui-là remportera la victoire et fera son salut, qui portera inscrit dans son cœur le nom de Marie. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1559- « Quand le pape est hérétique exprès, ipso facto, il tombe de son grade hors de l’Église.»
(Saint François de Sales, "Controverses", Partie II, chap. VI, art. XV)
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1560- « Celui qui porte le signe de la dévotion à Marie est reconnu par Dieu-même comme l’un des siens. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1561- « Le Souverain Pontife est élevé en dignité comme Aaron. »
(Saint Bernard)
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1562- « Hâtons-nous d’entrer dans la bienheureuse nacelle qu’est la dévotion à la Sainte Vierge, et là, tenons-nous pour assurés de parvenir au Royaume du ciel. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1563- « Le Souverain Pontife est plein d’autorité comme Moïse. »
(Saint Bernard)
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1564- « Marie secourt tout le monde. »
(Saint Bernard)
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1565- « Le Souverain Pontife est juge comme Samuel. »
(Saint Bernard)
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1566- « Oh ! que de sentences de condamnation Marie a su, par ses douces prières, faire révoquer en faveur des pécheurs qui ont eu recours à elle ! »
(Saint Antonin)
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1567- « Ô Marie, que de pécheurs ont cherché Dieu par votre entremise et se sont sauvés ! »
(Saint Germain)
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1568- « Le Souverain Pontife est puissant comme Pierre. »
(Saint Bernard)
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1569- « Le Souverain Pontife est oint comme le Christ. »
(Saint Bernard)
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1570- « Dès que la présence maternelle de Marie fait défaut, il n’y a plus que misère et souffrance. »
(Saint Jean Damascène)
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1571- « Le Pape est Vicaire de Jésus-Christ. »
(Innocent III)
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1572- « C’est la patience qui nous préserve du péché et de l’enfer ; c’est aussi elle qui fait les saints. »
(Saint Cyprien)
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1573- « Si les prières de Marie venaient à manquer, personne ne pourrait plus espérer la miséricorde. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1574- « Les pécheurs convertis sont ma gloire. »
(La Sainte Vierge au bienheureux Alain de la Roche)
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1575- « Le Pape est successeur de saint Pierre. »
(Innocent III)
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1576- « Quelque soit le pécheur qui l’implore, Marie l’exauce toujours. »
(Saint Bernard)
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1577- « Le Pape est le Christ du Seigneur. »
(Innocent III)
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1578- « On doit demander à Dieu les grâces nécessaires pour sauver son âme, ce que saint Jacques appelle la sagesse ou science du salut, et Dieu nous les donnera avec surabondance, au-delà de ce que nous aurons demandé. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1579- « Si nous voulons nous sauver, il faut que jusqu’à la mort nous priions sans cesse ; c’est pourquoi Dieu qui veut que nous soyons tous sauvés, nous en fait un commandement. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1580- « Si nous cessons de prier, nous sommes perdus, attendu que la prière est non seulement utile mais nécessaire au salut. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1581- « Éloignez de vous tous les usurpateurs, sous quelque titre qu’ils se présentent, archevêques, évêques, curés ; n’ayez rien de commun avec eux, surtout dans l’exercice de la religion. »
(Pie VI, le 13 avril 1791)
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1582- « Dieu n’exerce sa justice sur les malfaiteurs que lorsqu’il convient et qu’il y est pour ainsi dire contraint. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1583- « Dieu use facilement et largement de sa miséricorde envers tout le monde et en tout temps. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1584- « Étant d’une bonté infinie, Dieu a un désir infini de se communiquer à nous, ses créatures, et de nous faire part de ses biens ; de là naît l’extrême miséricorde qui porte le Seigneur à avoir compassion de nos misères. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1585- « La bonté tend naturellement à se répandre en bienfaits ; c’est ce qui fait dire à saint Jacques que la miséricorde triomphe de la justice. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1586- « Isaïe nous assure que le châtiment n’est point une œuvre selon le Cœur de Dieu mais une œuvre qui lui est étrangère, c’est-à-dire qui est éloignée de son inclination. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1587- « Le Pape est le Dieu de Pharaon. »
(Innocent III)
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1588- « Le Seigneur ne repoussera jamais un pécheur qui revient à lui avec repentir. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1589- « La miséricorde de Jésus-Christ envers nous est extrême. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1590- « Pour notre plus grand bien, Dieu veut que nous espérions en sa miséricorde avec une vive confiance à laquelle il attache une récompense d’un grand prix. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1591- « Nous devons bannir toute crainte désordonnée. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1592- « Le Pape est celui qui tient le milieu entre Dieu et l’homme. »
(Innocent III)
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1593- « La miséricorde est proportionnée à la confiance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1594- « Celui qui met sa confiance dans la divine miséricorde se verra à l’abri des dangers de se perdre. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1595- « Craignons-nous pour notre salut ? Allons avec confiance à Jésus-Christ. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1596- « Qui s’est jamais perdu après avoir mis sa confiance en Dieu ? »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1597- « N’allons pas chercher à obtenir une confiance sensible : il suffit que nous ayons la volonté d’avoir confiance. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1598- « La vraie confiance, c’est de vouloir se confier en Dieu parce qu’il est bon et qu’il désire nous aider, parce qu’il est puissant et qu’il peut nous aider, parce qu’il est fidèle et qu’il a promis de nous aider. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1599- « Le Pape est inférieur à Dieu et supérieur à l’homme. »
(Innocent III)
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1600- « Dès que j’envisage la Volonté de Dieu dans les événements, mon cœur trouve incontinent du calme. »
(Sœur Françoise-Catherine, "Année Sainte de la Visitation")
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1601- « Si vous suivez Marie, vous ne vous égarerez point. »
(Saint Bernard)
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1602- « Si Marie vous protège, vous n’avez pas à craindre d’être damné. »
(Saint Bernard)
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1603- « Si Marie vous favorise, vous parviendrez au Ciel. »
(Saint Bernard)
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1604- « Le Pape est plus petit que Dieu, mais plus grand que l’homme. »
(Innocent III)
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1605- « Il est impossible, ô douce Souveraine, que vous abandonniez celui qui met sa confiance en vous. »
(Saint Bernard)
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1606- « Ô Mère de Dieu, vous n’avez point horreur du pécheur qui soupire après vous, quelque corrompu qu’il soit : vous lui tendrez la main et le sauverez du désespoir. »
(Saint Bernard)
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1607- « Nul ne se perd sans le savoir, et nul ne reste dans l’erreur sans le vouloir. »
(Sainte Thérèse d’Avila)
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1608- « L’acédie est un mélange de tristesse, d’inquiétude, de découragement et de paresse. »
(Les Pères du désert)
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1609- « Un solitaire doit autant s’appliquer au jeûne que s’il était assuré d’avoir encore cent ans à vivre. »
(Saint Macaire d’Égypte)
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1610- « Le Pape est celui qui juge tous les autres et n’est jugé par personne. »
(Innocent III)
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1611- « Un solitaire doit autant mépriser les passions de son âme, oublier les injures et renoncer à l’envie et à cette mauvaise tristesse qu’est l’acédie que s’il devait mourir tous les jours. »
(Saint Macaire d’Égypte)
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1612- « La Croix de Jésus ne suffit pas à elle seule pour nous sauver : il faut encore que nous portions la nôtre avec résignation jusqu’à la mort. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1613- « Il est certain que si quelqu’un commet le crime de schisme, d’hérésie ou d’apostasie, par la nature-même d’un tel acte, il se sépare du corps de l’Église. »
(Pie XII)
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1614- « La Croix unit les âmes à Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1615- « L’amour chasse la crainte. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1616- « L’espérance naît de la foi. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1617- « Ô Marie, je ne veux point que mes péchés m’empêchent de me confier en vous. »
(Saint Alphonse de Liguori)
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1618- « Marie retient ses serviteurs et les empêche de prendre une liberté excessive qui serait cause de leur perte. »
(Richard de Saint-Laurent)
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1619- « Si le Pape est hérétique, il est inférieur à tout catholique. »
(Jean Gerson)
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1620- « La dévotion consiste dans une prompte soumission de notre volonté à celle de Dieu. »
(Saint Thomas d’Aquin)
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1621- « Le plus bel hommage que vous puissiez offrir à Marie, c’est l’imitation de ses vertus. »
(Saint Jérôme)
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1622- « Par cela-même qu’on établit la liberté de tous les cultes sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur, et l’on met au rang des sectes hérétiques et même de la perfidie judaïque l’Épouse sainte et immaculée du Christ, l’Église hors de laquelle il n’y a pas de salut. »
(Pie VII)